À mi-parcours
Datte: 22/05/2020,
Catégories:
ff,
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Voyeur / Exhib / Nudisme
miroir,
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entrecoup,
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cocucont,
Auteur: Viona, Source: Revebebe
... forcer le passage du cul !
Tout cela m’excite et sans me rendre compte je me baise de plus en plus intensément. Mes orifices ont pris la mesure de leurs conquérants et ils se sont adaptés. Je ne ressens plus que du plaisir, pas de gêne, pas de douleur. J’entends Léa dire :
— Tu vois, Viona, comme il me prend bien ? C’est bon la queue d’un homme ! Tu ne veux pas essayer ? Tu sais, un gode, même deux, ne remplaceront jamais une bonne bite bien vivante.
Je mets un moment pour comprendre qu’elle me propose John. Je pense :non, je ne peux pas accepter, ce serait tromper Loïc. Tais-toi idiote, ne joue pas sur les mots, tu l’as déjà fait avec Léa, avec les sex toys, avec les commerçants et combien de fois par la pensée. Tu dois le faire pour enfin accepter ta sensualité et assumer ta nouvelle sexualité.
— Oui, dis-je d’une voix tremblante.
— Plus fort, je n’ai pas compris. Tu veux que John vienne à toi ? Que veux-tu de lui ? Il faut le mériter.
— Oui, je le veux. Je veux qu’il me prenne, me baise, me sodomise, m’utilise comme sa chose. Je suis une salope qui a le feu au cul. Et surtout je veux qu’il jute dans ma gorge, je veux sentir le goût de son sperme quand je vais le pomper.
— Voilà, tu le mérites. Va, mon chéri, fais-lui tout ce qu’elle demande. En réalité elle en rêvait depuis toujours mais maintenant elle le fait.
Alors commence la grande danse de l’amour quand tout est permis. Lorsqu’il m’a retiré les godes je me suis sentie vide mais sa queue m’a ...
... rapidement comblée. Je me demande si je n’ai pas perdu connaissance sous les orgasmes à répétition. Pourtant lorsque nous avons regardé tous les trois la vidéo de cet instant, je ressemble à une furie qu’un cavalier cherche à dompter. Je crie, rugis, encourage mon cavalier, me tortille dans tous les sens sous les caresses de mes deux amants. Léa s’est associée à son mari pour me pousser dans mes derniers retranchements. Elle me presse les seins, fait rouler mes tétons entre ses doigts. Dès que John change d’orifice elle occupe celui qui est libéré avec trois ou quatre doigts qu’elle me fait sucer à chaque fois. Un seul moment j’arrête de parler, c’est lorsque John prend possession de ma gorge. Je m’applique à l’accueillir le plus profond possible. Je le branle uniquement par mes lèvres, je le suce avec ma langue et surtout j’aspire, creusant les joues. J’ai perdu la notion du temps et j’ai l’impression qu’il jouit très vite dans ma gorge. Que c’est bon de sentir sa crème sortir en jets puissants ! Que c’est bon de l’avaler avec gourmandise ! Je suis heureuse, j’ai réussi à faire jouir un homme par ma bouche. Je m’effondre sur le sol, littéralement épuisée et je pleure. Mes amis se penchent vers moi :
— Viona, ne pleure pas. C’était fantastique, un pur moment de bonheur. Tu es maintenant une parfaite amoureuse. Tu n’es pas heureuse ?
— Si bien sûr, c’était si bon. Je ne sais même pas combien de fois j’ai joui tellement je suis montée haut. Non, je pleure car je pense à Loïc. ...