1. Où il est question de se faire tirer... le portrait (4)


    Datte: 07/04/2018, Catégories: Erotique, Auteur: Animal_75013, Source: Xstory

    ... Viens me saillir. Viens me posséder.
    
    Il ne m’en faut pas plus pour me coller derrière elle. J’avoue n’avoir jamais pratiqué une femelle de cette façon. Pratiquement, je dois commencer par l’enculer, le gode étant nettement plus long que moi et plus en avant sur mon pubis. Je pose donc le gland de silicone sur son anus encore largement ouvert. Il disparaît quasiment instantanément dans l’antre accueillant et mon gland se retrouve rapidement à butter contre ses lèvres chaudes et encore gluantes de stupre, de cyprine et de sa mouille. Là encore, l’intromission se fait sans aucun problème tant elle est trempée.
    
    Elle se contracte et vient se coller contre moi, s’empalant sur mes deux membres qui pénètrent profondément en elle. Elle pousse tant que mon gland vient buter contre son col, générant chez elle une légère contracture.
    
    — Aïe, oups, désolé Xavier, tu n’as pas eu mal ?
    
    — Non, je dirais presque ... au contraire... je suis aux Anges.
    
    — Tu aimes me prendre comme ça ? Tu aimes voir cet énorme gode défoncer mon cul ? Tu aimes sentir ton sexe dans le mien ?
    
    — J’adore, je n’ai jamais ressenti un tel plaisir Ghislaine, c’est immense comme sensations.
    
    Je l’agrippe par les hanches et commence à la bourriner comme il se doit.
    
    À nouveau je viens buter contre son col, mais ce ne sont plus des "aïe" qu’elle pousse mais des "han han han" de femelle en chaleur qui sortent de sa bouche...
    
    Sous elle je vois ses énormes mamelles qui pendent et ballotent en rythme ...
    ... avec mes coups de reins. Son dos se creuse, elle se cambre encore plus me permettant d’aller encore plus profondément dans son rectum, remontant j’imagine très loin dans ses entrailles.
    
    — Di-vin, di-vin, di-vin ahane-t-elle à chaque coup de boutoir.
    
    Je sens la sève monter dans mon vit, tout au moins, le peu qu’il en reste, et je me libère soudainement de mon foutre chaud dans son vagin brûlant. Comme précédemment cette légère surpression déclenche un nouvel orgasme chez elle. Mais celui-ci est anthologique. J’imagine que cela est dû au ramonage simultané de ses deux orifices.
    
    Elle se relâche totalement et se met à trembler de tout son être, libérant à nouveau sa liqueur de femelle qui coule sur le lit en petits jets. Je me retire lentement, le gode sortant bien entendu le dernier. Dès qu’elle est libérée, elle s’affale sur le lit à plat ventre, encore tremblante et reprend rapidement sa position fœtale.
    
    Ses spasmes durent un temps infini. Je la regarde continuer encore à jouir de notre accouplement. Je me sens apaisé, heureux. Au bout de vingt ou trente secondes, elle s’assoit en tailleur sur le lit. Je viens la rejoindre en me mettant dans la même position en face d’elle.
    
    — Tu as été bien inspiré de vouloir me servir de modèle, il aurait été dommage que nous fussions passés à côté de ces instants magiques.
    
    — Je suis bien d’accord avec toi.
    
    — Bon, j’ai un gros creux là. Pas le temps de faire le dîner. On va au resto ? Et si tu veux, tu peux rester dormir à ...