Conte Noël qui se finit (commence) en juillet
Datte: 21/05/2020,
Catégories:
fh,
hplusag,
amour,
Oral
pénétratio,
fsodo,
conte,
amourpass,
Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe
... d’entrave pesant contre moi, comme si nous étions…
Le week-end allait être compliqué. Je ne voulais pas avoir d’embrouille avec elle. Une évidence, elle me faisait bander. Autre évidence, elle avait beau dire que j’étais bien conservé, elle avait vingt ans et moi, soixante. Je ne savais pas comment interpréter son attitude. Avance sexuelle ou manifestation d’amitié, difficile à dire. Si elle s’était comportée de la même manière avec Yann, il avait pu croire… et il avait mal compris !
Après le repas de midi, je prétextai l’« habituelle » visite hebdomadaire à ma mère pour pouvoir respirer un peu. Quand je revins en fin d’après midi, aucun doute ne subsistait sur ses intentions. Elle avait revêtu une légère robe d’été minimaliste qui ne cachait pas grand chose de ses formes voluptueuses. Ses cheveux libérés de la queue de cheval tombaient en cascades sur ses épaules dénudées. Fin du fin, elle avait remplacé ses horribles binocles par des lunettes à fines montures qui épuraient son visage.
Je m’accrochai à l’espoir illusoire qu’elle sortait avec des copains… Ben non ! La table était mise. Elle m’avoua, feignant de plaisanter, qu’elle nous avait préparé un petit dîner « en amoureux » et qu’ensuite, elle me payait un ciné. Comment refuser ? J’étais pas dans la merde !
Je ne savais pas quel film elle comptait voir. Mais j’avais des doutes. La salle la plus proche se trouvait à plusieurs kilomètres. Or, nous commençâmes par deux apéritifs bien tassés – Martini, pour ...
... elle, whisky sans glace pour moi – en grignotant des amuse-gueule.
Assise en face de moi, elle m’offrait une vue plongeante et aphrodisiaque sur sa gorge chaque fois qu’elle saisissait un gâteau à apéritif. Et elle avait l’air de les adorer. Elle ne portait pas de soutien-gorge. Ses seins n’en avaient nul besoin. Quand elle se baissait, j’avais l’impression qu’ils allaient jaillir du décolleté et se précipiter dans mes mains. J’avais très chaud. L’alcool n’était pas le seul responsable.
Puis nous passâmes à table ! Je dus reconnaître qu’elle savait cuisiner, tout était parfait ; l’accord vin/mets aussi. Ma température corporelle, ma tension artérielle augmentèrent encore. Elle insista en outre pour me servir, prétextant qu’ayant refusé le loyer qu’elle me proposait, elle me devait bien ça. Comme par hasard, à chaque passage, j’avais droit au contact et /ou la vision d’un sein. Lorsqu’elle était assise, le supplice empirait : ses pieds, ses jambes nus, fortuitement évidemment, mais trop souvent, frôlaient, caressaient le denim de mon jean. Elle m’allumait sans vergogne. Je bandais comme un cerf.
L’heure où l’on baise
Alors qu’elle servait le dessert, un néné turgescent s’appuya « accidentellement » contre mon bras. Je n’en pouvais plus. Je la repoussai brutalement et me levai. Je ne voulais pas agir comme Yann.
— Sarah ! Tu as conscience de ce que tu fais ? Tu t’es comporté comme ça avec Yann ?
Elle déposa la bouteille et me regarda d’un air narquois.
— Enfin ...