Une chaude soirée
Datte: 21/05/2020,
Catégories:
fh,
couple,
extracon,
fépilée,
forêt,
parking,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
confession,
Auteur: Langes, Source: Revebebe
... Puis je remonte sa robe, si bien que nous marchons ainsi, elle, son cul à l’air, visible par tous. Sans dire un mot, nous dépassons le parking pour nous engager sur le chemin qui fait le tour du lac. C’est un petit chemin, avec de l’autre côté un grand espace dégagé et quelques arbres.
— J’adore ! J’ai un peu peur d’être vue ainsi, mais ça m’excite beaucoup, me dit-elle en m’embrassant tout en caressant ma queue toute dure et à l’étroit dans mon jean.
Arrivés à l’espace dégagé, nous nous embrassons et nous nous caressons. Je l’entraîne un tout petit peu à l’écart du chemin, sous un arbre. Il fait nuit, mais la pleine lune et le ciel dégagé offrent une belle visibilité ; nous sommes seulement dans l’ombre de l’arbre.
Je caresse son cul mais elle se dégage, se penche, déboutonne mon jean et fait enfin jaillir ma queue de son carcan. Elle me regarde, approche ses lèvres et commence à lécher le bout de mon gland avec sa langue. Hummm ! Elle s’accroupit, prend ma queue dans sa main et commence à me sucer doucement. Elle passe sa langue en faisant des cercles sur mon gland puis me prend en bouche, d’abord mon gland, puis un peu plus, pour finir par faire entrer toute ma queue. Elle commence doucement, puis un peu plus vite en faisant des allers-retours sur toute la longueur de ma bite toute raide de plaisir.« Humm, oh oui, que c’est bon… » Tout en me suçant, elle plonge son regard dans le mien.
Je n’en peux plus, je veux lui faire du bien. Je la relève. J’écarte son ...
... décolleté pour m’emparer de ses seins, je les caresse. Je mordille ses bouts pendant que mes doigts courent sur sa chatte toute liquide. Je presse et j’écarte ses lèvres pour enfin lui mettre un, puis rapidement deux doigts qui glissent tout seuls, tellement l’excitation la fait mouiller. La belle gémit et soupire de plus en plus sous ce délicieux double traitement.
Au bord de la jouissance, elle se dégage à nouveau, fait faire deux allers-retours à ma queue dans sa bouche, puis elle se retourne et prend appui de ses mains sur le tronc de l’arbre en cambrant sa croupe le plus possible. Je me débarrasse de mon jean ; je suis quasiment nu. Alors je passe mes mains sur elle, je caresse son corps, ses seins, j’en fais le tour, je pince ses tétons durcis de désir et doucement, je fais tomber sa robe au sol. Dieu qu’elle est belle, ainsi exposée, nue, juste avec ses talons, au bord du lac sous la lumière de la lune !
— Fais quelque chose pour moi, je sais que ça va te plaire.
Je ramasse nos affaires, je marche vingt mètres, nu à partir de la taille, jusque sous un autre arbre.
— Maintenant, avance lentement sur le chemin jusqu’à moi.
Hummm ! Je sais qu’elle aime faire ce genre de chose, être nue en extérieur, pouvant être surprise à tout moment. Elle s’avance alors lentement vers moi en se déhanchant exagérément. Je me caresse en la voyant ainsi, belle, obscène, lubrique. Sur le chemin, arrivée à deux mètres de moi, elle tourne sur elle-même et fait glisser ses mains ...