1. Un moment de folie érotique


    Datte: 21/05/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Micky, Source: Hds

    ... mouvement d'ascenseur qui la fit rapidement jubiler. De son côté, l'homme se concentrait pour ne pas éjaculer, tant le spectacle de ce corps généreux à la teinte ivoire, si habile à coulisser sur sa bite, et le claquement sec des deux peaux chaque fois qu'il la pénétrait jusqu'à la garde, le mettaient en extase. Malgré la fatigue occasionnée sur ses cuisses par les flexions répétées, Françoise tint longtemps la position, s'arrêtant, recommençant, vissant son antre sur le pénis avant de se relever comme pour profiter à fond de sa longueur. L'homme n'en revenait pas d'une telle adresse, bien éloignée de ses maitresses habituelles.
    
    Il eut alors envie de la récompenser en effectuant tout le travail. Cette fois, ce fut elle qui se retrouva dans l'herbe, cuisses grandes ouvertes sur une vulve juteuse. Après l'avoir visitée de sa langue, histoire d'allonger un peu le coït, l'homme saisit ses pieds nus, les embrassa, les lécha et finalement les écarta avant de s'enfoncer une nouvelle fois en elle et de la mitrailler de coups de bite, les yeux dans les siens. Subjuguée, Françoise lui encercla les reins et se servit de cet appui pour lui renvoyer la balle. Il ne serait pas dit qu'elle était une partenaire passive. Une grande houle agita les deux corps joints par leur sexe. Françoise se mit à proférer des mots incompréhensibles qui signifiaient son total abandon. Chaque coup de bite la faisait décoller du sol herbeux où sa peau ivoire et sa crinière rousse se détachaient, accentuant ...
    ... la frénésie de l'homme. Le lieu s'emplit de cris et de râles, d'interjections et d'onomatopées du plaisir sexuel et quand Françoise lança "maintenant, maintenant", l'homme expulsa un flot de sperme qui arrosa à la fois la peau de sa maitresse et l'herbe de leur lit de nature. Françoise le prit aussitôt dans sa bouche pour en tirer les derniers sucs, comme un élixir de jouvence. Elle y mit une telle conviction que l'homme se demanda si elle n'allait pas le faire rebander.
    
    Mais elle lui sourit, l'embrassa, lui prit la main et l'entraina vers la rivière où le couple se plongea avec volupté. Apaisée, Françoise se laissa aller dans le courant, la tête rêveuse...
    
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    Deux jours plus tard, Françoise et son mari s'en retournaient à leur domicile principal, fin des vacances oblige. Craignant d'alerter son mari, elle n'était pas retournée marcher au bord de la rivière et n'avait pas davantage rencontré son amant fugace dans le village. Lorsqu'elle revint sur les lieux quelques semaines plus tard, elle fut tentée de retrouver sa trace. Mais comment se renseigner sans alerter ? D'autant qu'elle ne connaissait même pas le prénom de son fougueux baiseur qui l'avait tant fait jouir. Le temps passa et malgré de nouvelles marches au bord de la rivière, pleines de nostalgie, elle ne revit jamais le pêcheur. Chaque fois qu'elle passait près de la petite plage, elle ressentait une petite contraction dans le bas-ventre, comme un manque. Mais elle hâtait le pas et poursuivait son chemin. ...