Contes sexuels (3)
Datte: 21/05/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: marla4, Source: Xstory
... le chef intima à un de ses sbires de mettre une main sur ma bouche
Elle va réveiller toute la paroisse avec ses cris de plaisir pervers. J’étais donc entravée de manière totale, même ma bouche ne m’appartenait plus et je me sentais défaillir.
— Continuez, elle doit entrer en transe et se libérer des démons qui l’habitent ! Dit mon tortionnaire d’un ton grandiloquent.
J’entendais de moins en moins bien, mes oreilles bourdonnaient et je sombrais sous un énième assaut sexuel, m’écroulant sur le côté évanouie.
Je me fis réveiller par de l’eau lancée au visage, je n’avais plus mon bandeau et mes mains étaient libres, enfin en tous cas pas dans mon dos : j’étais allongée sur une banquette assez luxueuse - voilà comment vit le clergé me dis-je, pendant qu’on dormait sur de la paille... - recouverte d’un tissu moelleux, mes fesses l’en remerciaient car je les sentais à vif et toujours chaudes, les mains cette fois ligotées devant moi.
— Je crois que le processus arrive à son terme, belle enfant. Tu nous as presque fait peur, mais c’était un habile subterfuge des démons je le sais.
Je pouvais observer mon bourreau pour la première fois, de belle taille et carrure, il avait un visage assez fin et de belles boucles blondes, un ange adulte presque mais aux idées bien perverties je le savais désormais. Il me contemplait d’un air pensif, mais je ne voulais pas imaginer ce qui traversait son esprit tordu. Comme s’il lisait en moi, il sourit et se leva, mettant son ...
... entrejambe au niveau de mon visage : j’avais compris, il voulait de moi les pires outrages et péchés avant de pouvoir me "pardonner" et me remettre dans le droit chemin. Il baissa son pantalon blanc, révélant un pénis dressé et de belle taille. Les prêtres nous avaient toujours enseigné que prendre un pénis dans la bouche pour une femme était aussi terrible que le crime de sodomie, pourquoi m’infliger cela ? J’ouvrais pourtant la bouche, encouragée par les caresses dans mes cheveux et sur ma joue, il enfonça directement sa verge dans ma bouche et je léchais et suçais tant que je pouvais, je ne savais pas réellement comment m’y prendre pour lui donner du plaisir et le décourager dans son entreprise, car trop fatigué pour pouvoir profiter de mon corps.
Je suçais son gland, il aimait ça vu la violence avec laquelle il me tirait les cheveux. Pourtant, d’un coup, il m’écarta violemment la tête de sa queue :
— Je sais que ce que tu essaies de faire, ma pécheresse, mais je vais encore devoir m’occuper des autres orifices souillés par le Diable, je suis sûre que ça va t’aider... Dit-il en se baissant sur moi cette fois, retirant complètement son bas.
Il était au-dessus de moi, il se mit à tirer sur ma robe et la déchira en deux très facilement, me laissant à moitié nue au niveau du pubis et des hanches. Il écarta mes cuisses avec ses deux mains, me cambra sur le dos et me pénétra d’un coup jusqu’à la garde. Je sentis sa longue bite m’empaler, je sentais presque les veines gonflées ...