1. Cocu or not cocu


    Datte: 20/05/2020, Catégories: fh, extracon, collection, amour, Auteur: Saxe, Source: Revebebe

    ... bon de s’offrir à un autre homme ! Je te remercie de m’avoir permis de connaître ce bonheur. Je t’aime tant !
    
    Elle m’a donné à nouveau à goûter ses lèvres parfumées. Elle a continué sa narration.
    
    — Plus tard dans l’après-midi, nous avons encore fait l’amour.
    — Dis-donc, il a une drôle de santé, dis-je, dans le fond un peu jaloux !
    
    Je ne sais si c’était ses confidences ou une envie naturelle d’elle de ma part, mais je me sentais très excité. J’avais à mon tour envie d’elle. Je l’ai transportée dans notre chambre et, précautionneusement, je l’ai dépouillée de ses vêtements. J’ai regardé avec convoitise son minou. Pour la première fois aujourd’hui, un autre que moi s’y était coulé. D’avoir été si sollicité ce jour-là, il me semblait gonflé et distendu. J’ai glissé ma langue entre les chairs meurtries. Je l’ai léchée longuement puis m’y suis fondu de toute la longueur de mon sexe. Que je l’aimais ma petite femme perverse !
    
    Ainsi a débuté son apprentissage de la vie de femme. Je la voyais avec fierté se rendre tous les matins à son travail. Je savais qu’elle y joignait l’utile à l’agréable. Je l’aimais et je sentais qu’elle devenait une femme dans toute sa plénitude.
    
    J’étais gagnant au change, d’ailleurs. Notre façon même de faire l’amour avait évolué. Elle amenait sa nouvelle expérience de maîtresse. James nous amenait quelque chose.
    
    Ainsi, un soir que je lui faisais l’amour, elle avait, à ma grande surprise, glissé d’une main experte mon sexe vers son petit ...
    ... trou. Ce qu’elle m’avait jusque-là toujours refusé ! J’en avais été ravi !
    
    Maintenant, elle caressait mes fesses, et j’y puisais un plaisir nouveau ! Chaque jour apportait son lot de surprises et j’adorais ça.
    
    Près de deux mois maintenant s’étaient passés depuis l’envol de mon épouse.
    
    Elle semblait se complaire dans son double rôle de femme d’un homme et maîtresse d’un autre. Nous y trouvions chacun notre compte. Nous nous aimions de plus en plus.
    
    Ce soir donc, de retour du bureau, je remarquais tout de suite qu’elle était préoccupée. J’avais été accueilli avec la même joie, mais cependant je lui trouvais un air de je-ne-sais-quoi. J’ai dit :
    
    — Y a-t-il quelque chose qui ne va pas ?
    — Je ne sais pas si je dois t’en parler…
    — Vas-y, tu en meurs d’envie !
    
    Il y avait aux coins de ses lèvres un petit sourire coquin.
    
    — J’ai fait la connaissance d’un homme qui me plaît beaucoup. Il m’a invitée à dîner ce soir. Ça t’embêterait si je te laissais seul ce soir ?
    — Pas du tout, mon amour. Mais si je comprends bien, tu comptes faire cocu ton cher James ?
    — Eh ! me répondit-elle, tu sais comment sont les femmes ?
    
    Pourvue de mon accord, elle se fit aussitôt toute belle et sexy. Pour la première fois, j’allais passer une soirée tout seul. J’ai ressenti comme un pincement au cœur. Des doutes commençaient à poindre en moi.
    
    N’était-ce pas un challenge fou pour notre couple que ce jeu dangereux que je lui avais proposé là ?
    
    Mais non ! J’aimais trop ma femme et ...