eric , erica
Datte: 06/04/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Gay
Transexuels
Auteur: motspassants, Source: xHamster
... tirer de ce cadeau du ciel. Pour l’att****r, pour le piéger, il avait donné l’ordre à N’Djili de faire le nécessaire. De se sacrifier en fait. Un bon musulman, ce N’Djili, chez qui l’obéissance aux ordres du marabout s’impose malgré son dégoût pour les homosexuels, conformément aux bonnes règles de l’Islam.
Il le fallait pour le bien être de cette communauté d’une trentaine de Maliens, vivant si loin désormais de Bamako au fond de ce pays si froid. Sans femme depuis des années. Sans papiers et donc obliges de vivre à l’écart, sans contact, avec au ventre la peur de l’arrestation et de l’expulsion. Victimes du racisme. Travaillant pour des salaires de misère et dont la plus grande partie partait de plus vers les familles du pays natal. Le marabout savait qu’il fallait un moyen, un canal, ou pourrait s’échapper le feu de cette frustration sociale et sexuelle qui menaçait sa petite communauté. Eric était la solution : ce jeune blanc serait, par sa bouche et son cul, ce canal…
Quatre ans qu’il était au foyer.
Eric avait compris dès lendemain de son arrivée ici qu’il avait été piégé : quand on lui a pris ses papiers et son téléphone portable, quand il s’est vu enfermé pendant la journée dans une des barques du camp sous la garde des ouvriers de repos (plus jamais de travail au chantier pour lui, le premier jour avait été une mascarade), et enfin quand N’Djili lui a fait comprendre sans douceur que sa bouche devait aussi s’ouvrir sur les queues de certains des autres ...
... ouvriers. Et avaler leur semence grasse et salée. Puis quelques jours, plus tard sur celles de tous les autres ouvriers, le vieux marabout compris. Puis quelques semaines plus tard, c’est sa « chatte » qu’Eric a fini par mettre à la disposition de tous.
Cependant il était heureux. Tout avait été fait pour enflammer son fantasme de soumission féminine à ces hommes qui le dominaient physiquement. Il portait désormais en permanence et uniquement string noir, nuisette et talons hauts et on s’adressait à lui exclusivement au féminin (« Erica » « Suces plus profond ma chérie ! » « Tu es bonne… » « Tu es belle Erica. Laisses toi doigter la chatte », etc…). Une vieille africaine était venue au camp lui tatouer le contour des yeux et les sourcils. Un peu grossier peut être, mais féminin et indélébile en tous cas. On lui avait tressé les cheveux en nattes, des nattes ramenées en un court chignon au dessus de sa tête. Deux larges boucles d’oreille dorées et du rouge à lèvres complétaient l’illusion.
Le marabout le « chargeait » aussi. Il connaissait les produits traditionnels. Il s’en servait sans mesure sur Eric, dont en quelques mois la personnalité s’était un peu effacée. L’idée qu’il était là pour servir, pour s’offrir, que c’était là son but et sa récompense dans la vie lui avait été imposée. Une sorte de lavage cerveau d’autant plus facile qu’il dormait peu toutes les nuits. Et pour cause… Les produits traditionnels servaient aussi à entretenir son envie sexuelle. Et plus Erica ...