Cocufié par deux femmes
Datte: 20/05/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Hujambo Korodani, Source: Hds
À travers les minuscules trous des volets, le jour annonçait sa présence aux dormeurs via la lumière, qu’il peinait à répandre dans la chambre toujours sombre, lumière qu’il fixait en petites étincelles fixes derrière la vitre. Il serait bientôt 6H. Le soleil continuait à se soulever. K quitta le lit conjugal. Il saisit le téléphone intelligent puis neutralisa la sonnerie alarme avant qu’elle n’eut le temps d’éclater. P dormait encore, en tenue d’Ève, sous le drap frais, loin de s’imaginer les nuits tortueuses qu’elle lui imposait depuis qu’elle avait pris l’habitude de dormir complètement nue près de son pénis encagé.
Tous deux se tenaient debout et nus sous les jets rectilignes qui les éclaboussaient, les mouillaient, tièdement, voluptueusement. L’eau s’infiltrait dans la cage de chasteté métallique de P. Il ne sentait plus son pénis encagé depuis plusieurs jours.
Ils prirent ensemble le petit déjeuner préparé par K. P se rendit à son cabinet. Elle y travaillait comme avocat. K resta seul au domicile du couple, à faire l’homme de ménage. Il passa l’aspirateur, fit la vaisselle, lava les sous-vêtements de sa femme, etc. Toutes ces tâches, il les accomplissait en signe de soumission.
C’était une citadine convertie en professionnelle recouverte de phrases marketing qui vous informaient qu’elle appartenait à un coiffeur et qui vous indiquaient ses coordonnées de contact, son emploi du temps, ses tarifs. K gara sa voiture professionnelle sur le parking qu’il ...
... connaissait bien. Il prit dans le coffre le sac contenant ses outils. Il envoya un SMS pour signaler son arrivée. Il se dirigea vers le portail de la villa.
Cliente régulière, D lui ouvrit. C’était une quarantenaire. K shampouina D dans la salle de bain. Il bâcha une partie du sol au salon. Il se mit à coiffer D. Les courts bouts de cheveux atterrissaient sur la bâche, d’autres restaient sur la blouse en plastique qui protégeait les habits de la femme.
La cliente.-J’adore ! C’est devenu une habitude avec toi !
K.-Merci ! C’est toujours un plaisir pour moi de t’embellir.
La cliente.-C’est moi qui te fais cet effet-là ?
K.-J’avoue que la grosseur est flatteuse et que j’aurais vraiment aimé que ma bite ait cette taille, mais ce n’est pas ma bite !
La cliente. -Si ce n’est pas ta bite, qu’est-ce que ça peut bien être ?
K.-À toi de toucher pour savoir ce que c’est ?!
Elle se rapprocha de K. Poussée par la curiosité, elle tendit le bras. Sa main toucha la devanture du pantalon. Ses doigts devinèrent une structure solide derrière le tissu.
La cliente.-C’est quoi ?!
Elle recula, surprise et effrayée. Le pénis des hommes était censé être mou, pas aussi dur !
K.-C’est à toi de deviner ce que c’est !
La cliente.-On aurait dit que ton pénis est en fer ! Tu n’es pas un robot j’espère ! Une espèce de terminateur.
K.-Je vais te dire la vérité, toute la vérité. Je suis un prototype secret ! J’ai été construit pour remplacer les humains au travail. Je suis dirigé ...