Laure sa...pée
Datte: 20/05/2020,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Philominicuir 9, Source: Hds
... aussi.
Il aimait que je pisse dans mes petites culottes, cela ne me gênait aucunement. Pourquoi ne pas mouiller ses culottes ? Ca lui plaisait, ça me plaisait aussi, sentir un linge bien trempé sur son intimité est agréable.
J’acceptais donc, rien là de bien méchant. Et puis il me traitait de sa « petite pisseuse », ce qui, bien entendu, m’excitait et m’incitait.
Je mouillais donc mes petites culottes. Etant très propre, je me lavais tous les soirs et remettais mes culottes plus ou moins sèches le matin et je les badigeonnais de pommades bien onctueuses et parfumées. J’aimais ces sensations ! (Je portais avant tout des robes, jupes ou pantalons en cuir !)
Un jour, au lycée, je devais surveiller un devoir sur table de ma classe de terminales. J’étais en jupe (aux genoux, juste un peu au-dessus). Pour mieux surveiller, je me suis assise sur le bureau, croisant, décroisant et gardant les jambes toujours plus ou moins ouvertes. Beaucoup d’élèves (garçons ou filles) ont passé plus de temps à me mater qu’à se pencher sur leur copie. Moi, je mouillais comme une fontaine ma petite culotte livrée à ces regards faussement innocents. J’ai été généreuse dans mes corrections sachant leurs troubles.
Bien des fois il m’obligeait d’être à la maison seins à l’air, mini en jean ou en cuir, bottines… Il aimait me voir ainsi. J’aimais aussi, bien sûr.
Mais, parfois, il arrivait que quelqu’un sonne à la porte et je devais aller ouvrir en cette petite tenue… Un ou deux types, ou ...
... un couple que je ne connaissais pas! J’étais gênée au début, puis je me suis habituée et je voulais faire plaisir à F. A dire vrai j’aimais ça en véritable petite apprentie salope. Caresses, tripotages, mots cochons, léchages et parfois, souvent - pas assez à mon goût - bonnes baises (devant, derrière, fellation…) F. jouissait à me voir agir ainsi, je devenais comme il souhaitait. Assez pute, débauchée, libertine, de plus en plus pouffe. De plus en plus accroc au sexe (aux bites, aux culs, aux chattes…)
F. avait beaucoup d’idées, ce n’est pas un reproche, loin de là. Des idées qu’autrefois j’aurais trouvées bien cochonnes mais qui à être mises en pratique s’avéraient très excitantes.
Des exemples ?
Un jour, en fait un soir, en petite tenue décrite plus haut, il me demande de me tourner et d’exposer ma croupe (certes fort appétissante), il y avait un type, il écarte ma culotte et je sens quelque chose qui glisse le long de la raie de mes fesses : un œuf ! Froid, gluant. Le type vient me triturer et lécher cette omelette crue qui avait séjourné dans mon sillon. J’ai dû garder ma culotte souillée toute la soirée. Ca me faisait penser à du Bataille !
Souvent, le vieux pervers, aimait me badigeonner de miel, de Nutella et autres confitures qu’il léchait ou donnait à lécher à ses amis. Parfois un alcool fort (vodka ou autre) venait m’enflammer la chatte. C’était chaud, irritant, jouissif…
Un jour il avait invité un ami pour un petit repas. J’étais toujours vêtue très ...