Les émois de Valériane - 2/3
Datte: 19/05/2020,
Catégories:
fh,
hplusag,
hotel,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
attache,
totalsexe,
Auteur: Laure Topigne, Source: Revebebe
... qui par bonheur est pourvue d’un lit à barreau. J’ai en effet subtilisé les menottes que mon père dissimule derrière son comptoir pour immobiliser, en cas de nécessité, un client un peu trop aviné et turbulent dans l’attente de l’intervention de la gendarmerie. Je le repousse sur le lit et les extirpe de mon sac. Comme je le prévoyais, il me tend complaisamment ses poignets. J’en attache un, puis remontant ses bras vers la tête de lit, je fais glisser la chaînette métallique autour des montants avant d’en encercler le second.
Je le déshabille complètement à l’exception de sa chemise que je me contente d’ouvrir largement puis l’émoustille autant que souhaitable essayant tout de même de lui éviter l’apoplexie. Il n’est nul besoin de se fatiguer beaucoup pour l’amener à bander comme un taureau. Quant il est à point, bien excité sur chaque tranche, je me sépare de ma culotte, son trophée favori, trempée de mes élixirs et la lui jette à la figure puis… Puis je le quitte :
— Excuse-moi, mais j’ai très envie d’un whisky, je descends au bar où je m’évertuerai de ne pas m’attarder trop longuement à moins que quelque jeune quinquagénaire ne me fasse miroiter des avantages plus impressionnants que les tiens. Je m’efforcerai en tout cas de revenir avant que les fragrances de ma culotte qui d’ici là te tiendront aimable compagnie ne soient totalement dissipées.
Il tente de protester, trop tard car j’ai déjà claqué la porte.
À peine ai-je commandé ma boisson qu’un jeune ...
... avocat, à ce qu’il dit, bien qu’il me semble plus adepte des bars que de la barre, m’entreprend et je l’enflamme à la limite du dangereux allant jusqu’à lui démontrer que je ne porte rien sous ma robe, mais lui déclarant que je ne saurais lui céder que lorsqu’il sera dans le même état sous la sienne. Nos marivaudages durent une bonne heure avant que je ne songe à rejoindre mon prisonnier.
Je lui conte mes aventures et propose de faire monter le jeune homme pour m’offrir en spectacle dans mes ébats amoureux.
— Quel que soit le plaisir que je puisse trouver à satisfaire mes instincts de voyeur, il ne saurait être suffisant pour déférer à un autre ce que je brûle d’obtenir.
— Ainsi tu brûles ? eh bien prouve-le ! dis-je en caressant ostensiblement mes seins à travers la robe ?
— Et comment puis-je prouver autrement qu’en bandant, ce que je réalise déjà avec vigueur depuis un grand moment ?
— Il n’y a là qu’automatisme de singe face à guenon en rut ! Ne saurais-tu trouver plus convainquant ?
Il reste un instant pensif puis répond :
— Je vois, vous souhaitez que je vous supplie. Eh bien, chère Valériane, je vous en conjure, libérez-moi afin que je puisse vous baiser !
— Cela reste trop timide et manque de conviction. Dans ces conditions, je crois préférer me conduire à l’orgasme toute seule, dis-je en me postant face à lui et me masturbant après avoir remonté ma robe.
Bien mal m’en prend car le bougre apprécie tant le tableau que je me demande s’il ne saurait s’en ...