Une certaine après-midi en juillet.
Datte: 18/05/2020,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: byPhilippe C de Harles, Source: Literotica
Aujourd’hui, j'aimerais vous faire partager une aventure qui m'est arrivé l'été dernier. En cette journée très ensoleillée, je marche depuis une quinzaine de minutes dans un camp pour aller cueillir quelques fraises.
Aussitôt que je suis rendu dans ce champ de fraises, je commence la cueillette des fraises qu'il y a tout autour de moi. Et, comme d'habitude quand je cueille des fraises je m'assois directement par terre et avant que je vois le temps passé, j'ai déjà un plat de remplit.
J'arrête souvent pour regarder le beau paysage qui s'étend de l'endroit où, je suis jusqu'au lac des Quinzes qui est situé à environ un demi-mille plus au nord.
Quand mes deux plats sont pleins de belles et juteuses fraises des champs, je m'étire et je m'aperçois que mes jeans sont tachés à de nombreux endroits sur les genoux, le long de mes cuisses et ce qui serrait gênant si une personne m’apercevrait ainsi, c’est que mes jeans sont tout tachés à la hauteur de mon entre-jambe, car, j’ai dû me gratter souvent à cet endroit à cause de tous ses maudits maringouins. Franchement, même si, je voudrais le cacher, mes jeans sont teint de jus de fraises à la hauteur de ma masculinité.
Et, ces jeans me collent de plus en plus aux fesses tellement ils sont imprégnées de fraises juteuses que j’ai écrasé avec celles-ci tout au long de ma cueillette. Mes mains, elles, sentent le bon jus de fraises. Je les lèche. Je goûte le si bon goût des fraises. Et, avec celles que j'ai mangé tout au long ...
... de l’après-midi, je me doute que mon visage est tout barbouillé de rouge et que je dois ressembler à un jeune enfant ou à un clown avec toutes ces taches dans mon visage, mais, comme je suis seul dans ce champs, je souris en me disant que ça ne dérange personne.
Durant mon trajet de retour à la maison, j'arrête souvent pour en manger d'autres qui poussent le long de la route. Et, pour me protéger contre le soleil et contre les moustiques, j'avais mis une de mes vieilles chemises blanche à manche longue(au sujet de laquelle j’avais averti mon épouse de ne pas la jeter pour pouvoir m’en servir d’au moins encore dans des occasions comme celle-là. ) Je porte un vieux chapeau de paille de ma belle-mère qui est tout déformé avec tout le vécu qu’il a depuis le temps. Mais, maintenant que je marche tout seul sur cette route déserte, je veux profiter le plus possible du soleil. Je déboutonne les deux derniers boutons qu’il reste à ma chemise pour que le soleil me dore l’estomac.
Je viens juste d'enlever mes jeans qui me collaient sans cesse aux cuisses et aux fesses quand j'entends une automobile venir en ma direction. Quelques secondes plus tard, je la vois qui arrive en haut d'un petit coteau. Cette automobile s'en vient si rapidement, et, avec le fond de la route qui est mou, je m’aperçois qu’elle commence à déraper d'un coté à l'autre de cette route de gravelle pour ce qui me semble une perte de contrôle.
Soudain, cette automobile saute les quatre roues en l’air et pour ...