1. LA BELLE SAISON 1


    Datte: 19/01/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Poesexe, Source: Hds

    ... travers son dernier vêtement. Mon autre main l’enlace et caresse sa peau nue, entre le débardeur et la jupe.
    
    Elle n’est pas en reste, et ses mains ont ouvert ma chemise et caressent mon torse.
    
    Elle m’abandonne une seconde, des mains filant libérer l’attache de son soutif qui de dégage et laisse à mes mains l’accès à ses seins. Dès que j’en saisis les pointes, elle se met à gémir, et à se tortiller. Le parking étant désert et peu éclairé, je fais passer son débardeur par dessus sa tête, et dépose les vêtements sur le toit de ma voiture, avant de reprendre ma caresse, qui semble bien l’émoustiller. Je me penche en avant et saisis la fraise de son sein entre mes lèvres. La pointe est dure, et bien large, contrastant avec la masse imposante de ses globes qui tiennent encore, grace à son jeune age, mais seront probablement victimes de la pesanteur avant longtemps. Ses mains sont descendues sur mon jean et mesurent l’ampleur de mon désir au travers du tissu.
    
    A mon tour, je glisse une main sous sa jupe et la remonte vers sa culotte que je découvre bien humide. Contournant l’obstacle, je glisse mes doigts à l’intérieur et découvre une vulve ouvert qui accueille mes doigts avec bonheur. Pendant ce temps, elle défait ma ceinture, baisse mon zip et tire le tout vers le bas, avant de venir saisir ma queue qu’elle extrait de mon slip, et commence à branler doucement. Mes mains remontent sur ses cuisses et vont chercher l’élastique de sa culotte qu’elles font ...
    ... glisser vers le bas. J’accompagne le fin tissu jusqu’à ses genoux, et il chute ensuite sur ses chevilles, soulevant un pied elle s’en débarrasse. Je la saisis par les hanches, et la dépose sur le bord du capot en relevant sa jupe, découvrant sous la lumière blafarde d’un réverbère, sa chatte soigneusement taillée. Je me rapproche en écartant ses cuisses et viens planter mon chibre dans sa vulve béante.
    
    Nous entamons une frénétique copulation. La position n’est pas des plus confortables. Après quelques secondes, elle s’allonge, le dos sur le capot encore chaud, et avance les fesses dans le vide. J’attrape ses jambes et les passe sur mes épaules. Je peux ainsi la pilonner violemment, le désir au paroxysme s’exprimant maintenant au rythme de mon ventre claquant contre son cul ferme . Elle ne tarde pas à atteindre l’orgasme, et je laisse alors aller les vagues de plaisir qui inondent son intérieur.
    
    Nous restons quelques instants emboités l’un dans l’autre, pantelants, trempés de sueur.
    
    Elle se relève ensuite et m’expulse . Sa jupe retombe, masquant son intimité, tandis qu’elle enfile son débardeur, et glisse le soutif dans son sac à main.
    
    « Je n’ai pas pu me retenir » me glisse t’elle « sans doute la tension du voyage. »
    
    « C’est peut-être un peu rapide » dis-je
    
    « C’était très bon pour moi. Je vais bien dormir. A demain. »
    
    « A demain » murmuré-je en la regardant s’éloigner.
    
    Sur que pour une entrée en matière, il est difficile de faire mieux. 
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