1. Le Village en folie (4)


    Datte: 17/05/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: simson3, Source: Xstory

    ... gardant évidemment le silence mais exprimant toutefois des soupirs de nervosité.
    
    « OK, fit l’homme en remontant également très haut la robe de la fille qui, les yeux fermés, se sentait rougir de honte, tout en posant ses mains velues sur les fesses légèrement bronzées qui s’offraient maintenant à lui. Oh ! ça c’est du muscle, Madame ! C’est dur et c’est ferme. Une belle petite touffe de poils drus en avant, ajouta-t-il en portant une main entre les fesses jusque sous le sexe de la fille qui semblait manifester des signes d’impatience. C’est sûr que c’est ma belle sportive d’Alicia !
    
    — Dix sur dix, lui répondit discrètement Ali, qui voulait écourter la scène. Puis-je avoir mon petit morceau, maintenant ?
    
    — Tiens, prends, fit l’homme en remettant une pièce de tissu à la fille qui ne se fit pas prier pour s’éloigner de son beau-père, non sans avoir reçu de sa part une taloche effrontée sur la fesse droite. »
    
    La doc constata que la culotte-bikini rose qu’elle tenait dégageait une forte odeur de cyprine. Elle l’enfila sans tarder, éprouvant la froide sensation de porter une petite culotte complètement mouillée.
    
    « Quel jeu stupide ! s’accorda-t-elle comme réflexion. C’est pas hygiénique pour cinqcennes ! »
    
    L’avant-dernière se présenta à son tour, tournant le dos à l’homme dont les yeux étaient toujours bandés. Ne restant plus que Sonia et Catherine, la partie lui devenait de plus en plus aisée. Il saisit fermement les deux fesses à deux mains :
    
    « Oh ! quel ...
    ... intéressant popotin ! Des fesses qui se tiennent très bien encore mais qui n’ont plus vingt ans ! Approche-toi de mon nez, demanda-t-il. »
    
    Il prit une grande respiration, le visage enfoui dans le chaud derrière de la femme qui, la bouche fendue jusqu’aux oreilles, s’était penchée à son tour :
    
    « Sonia, ton beau petit cul aura toujours un parfum que je saurai reconnaître ! »
    
    Ce disant, il enfouit profondément sa langue charnue dans l’anus de la femme qui se trémoussait de plaisir, sous les rires étouffés de l’assistance qui observait silencieusement. Elle enfila à son tour rapidement le bikini dont l’odeur de mouille séchée et d’huiles périnéales lui était parfaitement familière et qui, bien qu’elle ne lui appartenait pas, lui faisait particulièrement bien.
    
    Après avoir reçu quelques encouragements de Sophie, c’est une Catherine quelque peu hésitante mais éprouvant toutefois une certaine expectative perverse qui accepta d’aller se faire tripoter par un homme qu’elle connaissait à peine. Doté d’une vive perspicacité, Jérôme, les yeux toujours bandés, interpella la jeune fille :
    
    « Approche, ma belle Catherine, n’aie pas peur ! »
    
    La fille, d’abord à l’expression mi-figue mi-raisin, sentit un frisson la parcourir alors qu’elle sentait sa mini-robe se faire relever pour exposer à tous ses charmes féminins, et se laissa docilement caresser par des mains velues qui exploraient pour la première fois son innocente anatomie. Des doigts audacieux explorèrent la vulve de la ...