1. La gérante de la galerie d'art (8)


    Datte: 17/05/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Docsevere, Source: Xstory

    Je me rends compte de ce qu’il s’apprête à faire. Je commence à protester. Je le supplie de ne pas faire ça, qu’il est bien trop gros pour moi, que cela ne rentrera jamais en moi.
    
    Je lui dis que je ne l’ai pas fait depuis trop longtemps. Je sais pourtant que cela ne l’arrêtera pas, bien au contraire.
    
    Je vois son gros sexe luisant de mes jus et du lubrifiant. Je suis prostrée et liée sans aucune chance d’échapper à ce qu’il me réserve. Les pointes de mes bottes raclent le sol. Mes fesses lui sont offertes. Il crache sur ma rondelle, chose inutile pour la lubrifier mais pour me montrer qu’il me possède, que je suis à sa merci.
    
    Il se place derrière moi et enfonce un doigt dans mon petit trou tabou. Il rentre aisément avec un bruit humide montrant à quel point je suis bien préparée. Le deuxième doigt rentre sans problème également. Il fait quelques va-et-vient alors que je le supplie encore. Ma rondelle est dilatée et il veut me faire taire. Se plaçant presque debout au-dessus de moi il positionne son gland contre l’orifice puis il pousse. Je me tends en couinant. Mes mains se ferment comme des poings :
    
    « - Ggggnnnnniiiiiii non. Oh mon dieu. Aaaaiiee ! »
    
    Il me dit que je ne demandais que ça en me pavanant en bottes et avec des tenues trop suggestives. Son gland va un peu plus loin et avec un ploc il passe la rondelle. Je semble me détendre un peu car la brûlure diminue.
    
    ° ° °
    
    Ah la chienne, même dilatée précédemment par la boule du crochet, je la sens si ...
    ... étroite…. Heureusement elle a été bien lubrifiée.
    
    Elle beugle, ses mains se crispent, je vois sa nuque se tendre, tous les muscles saillants, ses jugulaires gonflées : c’est sûr qu’elle ne s’est jamais pris une pareille pine dans le cul !
    
    Le gland force avec difficultés le canal musculeux de l’anus, elle est brûlante. Je fais une pause dans ma progression, attendant que son sphincter se relâche. Elle proteste, pleure, gémit, avec des stupides jérémiades de bourgeoise catho :
    
    « Nooon, noon, cet endroit n’est pas fait pour ça, c’est contre nature ! Ça ne rentrera pas, tu es trop gros, tu vas me déchireeeer…
    
    — Arrêter de pleurnicher et encaisse. Des bourgeoises j’en ai enculées de 18 à 68 ans, et crois-moi, ça rentre toujours… et j’en enculerai encore ! Qu’est-ce que tu crois, que ton curé que tu visites tous les dimanches à l’église, il ne farcit pas sa bonne entre les fesses devant ses fourneaux en lui soulevant son tablier… ?! »
    
    Elle renifle, se détend un peu, son canal semble se détendre, ce qui me permet de m’enfoncer en elle en descendant, dans son splendide cul. Chaque centimètre de la progression lui arrache des cris déchirants - déchirants, le mot bien choisi pour cette laborieuse sodomie.
    
    J’ai l’impression que c’est une toute jeune fille qui se fait enculer pour la première fois malgré la préparation dont elle a bénéficié.
    
    Je finis par buter contre ses fesses épanouies. Elle halète. Je suis sûr que jamais personne n’est allé aussi loin, sinon peut-être ...
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