Ce jour où tout a changé (1)
Datte: 17/05/2020,
Catégories:
Zoophilie,
Auteur: tiffany.d, Source: Xstory
Bonjour à tous les lecteurs ; l’histoire que je vais vous narrer peut sembler fictive de par la prévisibilité de son déroulement, mais elle est bel et bien réelle, si bien que le simple fait de l’écrire me replonge dans mes souvenirs et fait remonter une flopée d’émotions encore bien ancrées en moi.
Pour commencer, je me présente : je me prénomme Tiffany. Actuellement, j’ai 31 ans. Je suis ce qu’on pourrait qualifier de petit gabarit (1,66 m pour 54 kg). Mes cheveux mi-longs et légèrement ondulés sont d’un blond tirant sur le châtain, et mes yeux sont verts. Quant à mes formes – car oui, Messieurs, je sais l’importance que cela a pour vous – je dirai simplement que mes seins sont à l’image de mes fesses, pas énormes mais bien ronds et fermes, sans pour autant être petits.
Ma première expérience avec un animal fut extrêmement marquante et perturbante pour moi, aussi j’ai dû faire un gros travail sur moi-même avant d’admettre que cet évènement inattendu m’avait changée ; et après coup, avec le recul, j’avoue qu’il m’a donné envie de m’abandonner éventuellement à une nouvelle expérience.
Ce jour-là, je me dirigeais vers mon travail (employée de bureau dans une entreprise de vente en ligne entre particuliers et entreprises), vêtue comme à mon habitude simple mais élégante – du moins je l’espère – d’un tee-shirt à manches courtes, d’un jeans et de sandales à talons (je porte presque tout le temps des chaussures à talons afin de regagner les quelques centimètres que je ...
... rêve de posséder naturellement).
Sur mon chemin, j’ai croisé un de mes collègues qui essayait péniblement de retenir un gros chien en laisse. Je ne m’y connais absolument pas en chiens, pardonnez mon ignorance, mais selon mon collègue il s’agissait d’un rottweiler royal, très beau mais aussi très effrayant de prime abord. Il venait de le trouver en pleine rue, la laisse pendante, et le chien l’avait suivi sur presque tout le trajet. Vu l’heure tardive à laquelle il l’avait recueilli, il n’allait pas pouvoir l’emmener chez le vétérinaire avant le soir ; il a donc décidé de garder l’animal avec lui toute la journée au bureau.
Après une journée passée à le côtoyer, cet énorme canidé me semblait moins terrifiant, mais il m’impressionnait tout de même par son côté brut et très intimidant.
Le soir venu, mon collègue fut interpellé par notre responsable de service, sans doute par rapport à ses résultats de fin de mois peu concluants. Comme notre chef de service a pour coutume de faire durer ses entretiens assez longtemps, mon collègue m’a demandé de garder l’animal avec moi jusqu’au soir, si bien que je l’ai amené à mon domicile.
Tout s’est bien passé jusqu’à ce fameux coup de téléphone de mon collègue qui m’annonça que, vu l’heure à laquelle son entretien s’était terminé, le vétérinaire était fermé et qu’il ne pourrait récupérer le chien que le lendemain car il serait de repos.
Cela ne me plaisait pas car ce chien me mettait mal à l’aise, et j’avais prévu de sortir ...