1. Contes sexuels (7)


    Datte: 17/05/2020, Catégories: Divers, Auteur: marla4, Source: Xstory

    ... pouvais aussi son pouce tenter de se frayer un passage vers mon anus à travers mes légers remparts de tissus ; j’avais du mal à marcher et finalement il s’arrêta après de longues minutes devant ce que je remarquais être une ancienne chapelle à moitié en ruines. Il connaissait les lieux, me dis-je, mais comment ? Il me fit entrer, là encore presque doucement, en faisant bien attention à ne pas me cogner la tête contre ces verres pierres branlantes ou me coincer dans des toiles d’araignée. Il faisait noir mais on voyait les restes d’un autel et c’est là qu’il m’amena, me tirant cette fois par la laisse qui pendait toujours à mon cou. Il me fit mettre à genoux - le sol était froid mais ça me gênait assez peu grâce à la boisson "de feu" -, face à l’autel couvert de lierre, je le sentis se positionner derrière moi et avec chacune de ses mains, il enserra mes cuisses, les remontant sur mes fesses et écartant lentement mais fermement celles-ci.
    
    Je me cambrais par réflexe, car il avait également appuyé presque sur mes lèvres humides avec ses pouces : je ressentais les effets du gingembre dans mon corps, un feu brûlait maintenant au fond de moi. Je me frottais à mon partenaire, appuyant mes fesses contre ce qui semblait être son pénis à en juger par la grosseur que je sentais à travers son pantalon et ma mince tunique. En effet, mes fesses rencontrèrent ses hanches et son membre déjà gonflé, il déchira violemment le tissu qui me couvrait encore quelque peu griffa mes fesses en les ...
    ... agrippant encore plus violemment et en se cambrant également pour me donner un aperçu de ce que mon petit cul fragile allait recevoir. J’avais chaud, je fermais les yeux car je commençais à gémir : il m’agrippa à ce moment-là les hanches, passant doucement sa main droite sur mon bas-ventre de gauche à droite, comme pour sentir la douceur de ma peau fraîchement épilée, mais s’arrêta finalement pour continuer tout naturellement plus bas et commença à me caresser le clitoris, d’une manière sensuelle, lente mais ferme.
    
    Ou était-ce le gingembre qui me faisait tout ressentir plus fort ? me demandais-je soudainement.
    
    Chaque pression de ses doigts agiles sur mon clitoris me donnait comme des frissons et parfois des petites pulsations électriques me parcouraient le corps, je me sentais mouiller sur ses doigts qui glissaient de plus en plus vers l’entrée de mon vagin. Déjà il arriva vers mon orifice, ralentissant un peu la cadence comme pour savourer le plaisir de la découverte de sa dernière sacrifiée : il glissa en moi son majeur rapidement, mouillé déjà par sa précédente incursion vers mon vagin, m’arrachant un gémissement que j’avais en vain tenté de contenir. Il rit doucement et me prit les cheveux fermement dans le cou par-derrière, me forçant à me cambrer tandis que je le sentais ajouter un doigt, puis un autre, délicatement et longuement en moi. Ses doigts allaient et venaient en moi de manière lente, mais il les avait tout de même assez écartés pour que je ressente des ...
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