Contes sexuels (7)
Datte: 17/05/2020,
Catégories:
Divers,
Auteur: marla4, Source: Xstory
... de découvrir la fameuse "boisson de feu" dont elles parlaient toutes.
Nous prîmes place à table, tout le monde mangeait et riait : les filles me servaient beaucoup de la boisson de feu, en fait une sorte d’alcool au gingembre, très aphrodisiaque paraît-il. Je n’en sentis pas du tout les effets d’abord, je me resservis beaucoup : je voyais mes compagnes se lancer des regards amusés et heureux, je sentais que tout le monde commençait à se laisser aller à la débauche. J’avais moi-même à cœur de réussir ma mission et j’espérais être pervertie par des inconnus, un de mes fantasmes. Debra nous annonça que la cérémonie allait devoir commencer, nous devions nous diriger vers le feu de camp. Nous nous mîmes en cercle, juste à côté, nous tenant les mains paumes vers le sol, je dus me mettre au centre et enfiler finalement la cagoule de velours noir promise. Il y avait deux trous grossiers pour les yeux, rien pour la bouche. Les filles entonnèrent des chants anciens, que je ne connaissais pas bien encore mais dont je sentais la force : le vent se leva, comme pour signifier le commencement du rituel.
De l’encens fut brûlé également, je commençais à avoir chaud sous ma cagoule. Les filles défirent le cercle et m’annoncèrent que désormais la première partie du rituel était finie, mais je devais être préparée selon un rituel encore plus complexe puisque cette année nous tentions de recevoir un invité très spécial.
La nouveauté de cette année est qu’après avoir abandonné l’idée ...
... d’invoquer avec succès le Diable, qui ne répondait à aucun appel depuis près de vingt ans, les filles avaient décidé qu’avec ce que j’avais à offrir - oui, mon petit cul vierge et serré - il était de leur devoir de m’offrir au moins symboliquement à mon nouveau maître. Je devais lui dédier mon corps et mon esprit, s’il décidait d’en disposer je devais me tenir prête. C’était donc pour ça l’épilation et la tenue, pas juste pour des démons, c’est logique, me dis-je. On me fit retirer mon manteau, je frissonnais un peu et on me tendit une tunique très légère mais assez sexy, transparente mais cachant les seins et les fesses, ouverte sur les côtés : très pratique pour se faire prendre plus facilement, tout est accessible, pensais-je émoustillée. Mais je compris que j’allais vraiment être l’esclave sexuelle d’un puissant esprit, auquel je n’étais même pas encore sûre croire, lorsqu’on m’enleva ma cagoule pour me bâillonner avec un chiffon à moitié tâché de sang avant de remettre la cagoule sur ma tête.
Je sentis Lola m’attacher un tour de cou en cuir assez serré, qui se révéla être une laisse car une longue lanière pendait devant moi. Une autre fille me dit de mettre les mains derrière mon dos, me les attachant avec une cordelette assez fine. Je pouvais déjà à peine bouger quand on me dit de m’allonger sur le côté sur le sol, m’attachant alors les chevilles et me laissant à terre comme une sacrifiée offerte et dont on a fait en sorte qu’elle ne puisse pas s’enfuir. Cependant, ...