1. Cocufiage "Psychothérapie de choc"


    Datte: 16/05/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: grandalfo, Source: xHamster

    ... venez m’aider !
    
    Je me ressers une rasade de ouiski. Bon Dieu, qu’il fait chaud ici ! Le joufflu de ma femme m’attire tel un aimant. C’est le supplice de Tantale, ou tante Ale, je sais plus. Je veux savoir ce qui se passe après. Non je que ne sache pas ce qui va se passer, mais je veux voir ! J’hésite, puis je craque : j’appuie sur le ► de la télécommande.
    
    Le dreadlocké s’est allongé sur le lit, coquette dressée comme un paratonnerre. Coralie l’acalifourchonne et pose son berlingot sur cet engin de malheur. Elle ne peut s’empêcher de faire des commentaires.
    
    — Ah, qu’elle est bonne, c’est un plaisir !
    
    — Ça rentre comme dans du beurre, ma chérie.
    
    — Rahh… gueule-t-elle en s’empalant jusqu’aux précieuses.
    
    — À moi, à moi ! réclament les deux autres, très gamins.
    
    L’un présente sa pine safran à la bouche de ma Coco qui l’engloutit avec gourmandise. Le troisième lui lèche le troufignon. « Nooonn, non, il ne va quand même pas… »
    
    Ben si, il va !
    
    Le Samuel dépose une noix de gel sur l’orifice, une autre sur son dard, puis présente son rouleau de la Thora à l’entrée du petit trou de ma petite Coralie. Elle s’arrête de sucer Jacky Chan pour bien apprécier l’introduction du Mohican – celui qui est scalpé –, elle ouvre la bouche, ferme les yeux, et tandis que l’engin pénètre lentement son conduit elle soupire un :
    
    — Nom de Dieu ! Mon chéri, je ne pensais pas qu’être psychothé****ute ça pouvait être aussi agréable…
    
    Il fait durer le plaisir, Rabbi Jacob.
    
    La ...
    ... cochonne ! Et dire qu’elle m’a toujours refusé l’entrée de cet endroit ! C’est qu’elle prend son pied, tandis qu’ils la ramonent de partout ; elle pousse des petits gémissements d’aise. Je pousse le son à fond pour bien les entendre. Avec un caisson de basses, cinq enceintes wifi, ça fait trembler les vitres.
    
    Je l’entends effectivement ronronner, roucouler. J’entends aussi les couilles qui tapent sur ses fesses et les bruits de succion. Cette fois, ça y est : je m’astique le ravageur. Je n’y tiens plus, c’est mieux qu’un film de boules sur Youporn parce que là, je connais l’actrice !
    
    Tandis les trois cavaliers de l’Apocalypse et leur monture grognent comme des damnés, je balance la sauce autour de moi.
    
    — Ça va, Jean-Paul ?
    
    J’appuie instinctivement sur pause et me retourne. Ma femme, ma Coralie est là. Elle pose ses clefs de voiture sur un meuble et me regarde, interrogative.
    
    Quand tu es à moitié torché ;
    
    quand tu as le pantalon et le calbute sur les chevilles ;
    
    quand tu te tiens le zgueg à la main et que tu te l’astiques ;
    
    quand tu as balancé du foutre partout sur la table du salon ;
    
    quand sur l’écran de ta télé il y a une image fixe – un écran de 164 de diagonale, escusez du peu – où tu vois ton épouse sucer un Chinois baraqué, se faire troncher par un Noir baraqué et défoncer le fion par un gars en kippa, baraqué lui aussi… essaie de trouver une répartie spirituelle ! À part, bien sûr, « Hello, ma chérie, tu sais où il y a du Sopalin ? » ou encore ...
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