1. Cauchemar à la villa de campagne 02


    Datte: 16/05/2020, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bytrouchard, Source: Literotica

    ... probablement par une main sur sa bouche. Elle se débat cinq bonnes minutes. Puis les bruits de lutte cessent et j'entends des claquements et des bruits explicites de va et vient. Les pleurs et les cris laissent place à des râles. Le bruit de la chair contre la chair continue. Les plaintes se transforment en gémissement de plaisir. Un plaisir mécanique car je n'oserai jamais penser qu'elle en éprouve à se faire violer. J'entends aussi des frottements comme des caresses, des mains qui palpent son corps et malaxent ses seins opulents. Je ne peux que me faire une idée de ce qui se passe à partir des bruits que je perçois. J'entends bouger comme si on changeait un corps de position. Les frottements sur les draps, les bruits répétitifs des ressorts, les gémissements de ma mère me font imaginer la scène. A chaque changement de position, les gémissements cessent quelques secondes puis reprennent.
    
    Les deux hommes sortent au bout d'une demi-heure, exténués. Maman reste sur le lit, choquée sûrement, jusqu'à ce que les gars lui hurlent de revenir.
    
    Elle a remis son bikini noir qui sans doute avait dû lui être enlevé pendant son viol. Elle avance lentement. Le bikini ne peut masquer son sexe ravagé et souillé de sperme. Son maquillage a coulé.
    
    Plus j'observe le corps de ma mère, plus je me dis que ses nichons sont vraiment énormes, disproportionnés par rapport au reste du corps. Jamais ...
    ... de ma vie, je n'aurais pensé vivre une telle situation. Ma sœur, et maintenant ma mère, ont été violées.
    
    Pendant qu'elle se dirige vers la cuisine, je regarde ses fesses ballotter et j'essaie de voir si son anus a été forcé. Visiblement elle n'a pas subi de sodomie. Les malfaiteurs s'assoient, sûrs d'eux, dans le canapé de la véranda. Le métis est parti avec ma sœur pour la baiser dans un endroit à l'écart. Les autres attendent la bouffe.
    
    Vingt minutes après, le métis réapparaît tout souriant. Ma sœur s'est habillée et maquillée. Elle ressemble à une pute avec sa mini-jupe en jean et son débardeur blanc.
    
    - Les gars, j'emmène la fille avec moi, on va en boite! Je vous laisse la mère. Vous aurez de quoi vous occuper avec elle.
    
    Ils rient à cette remarque.
    
    - Tu reviens quand?
    
    - Demain soir! Elle me plait trop, j'ai envie de profiter d'elle tout seul.
    
    - Et le fils?
    
    Le métis me regarde :
    
    - Détachez le. De toute façon, il sait qu'il n'a pas intérêt à faire l'abruti ou sa maman en subira les conséquences.
    
    - Oui il va faire le serveur.
    
    - Ah au fait les gars, j'ai passé quelques coups de fils! Ca va remonter de Marseille pour ici, alors vous étonnez pas si des potes débarquent avec tout ce qu'il faut pour s'amuser...
    
    Ma mère manque de s'évanouir à ce que vient de dire le métis, horrifiée à l'idée que son calvaire est très loin d'être terminé.
    
    A suivre... 
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