De Constantine à Marseille - Jean - 3
Datte: 16/05/2020,
Catégories:
hh,
jeunes,
Collègues / Travail
hépilé,
hotel,
hsoumis,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
intermast,
Oral
hdanus,
hgode,
hsodo,
jouet,
aliments,
baillon,
init,
Gay
Auteur: Mario, Source: Revebebe
... J’enduis tout son corps ! Je le sens prendre plaisir à ce massage inattendu. Ses fesses qui ondulent d’une façon… plus que provocante, ont bien entendu droit à un soin très spécial. Par ses mouvements, il me fait sentir son plaisir, mais aussi son impatience.
Je le laisse languir. Je me recule. Je l’admire. Un instant, j’aimerais être lui. Il reste allongé immobile. Il sait que je le regarde. Lui aussi doit avoir une forte dose de narcissisme en lui. J’aimerais avoir un appareil photo et immortaliser cet instant de grande émotion.
Je me rapproche de lui. Mes mains parcourent à nouveau en le caressant cette peau de satin. J’écarte avec douceur ses fesses, et lorsque ma langue vient titiller sa rondelle, Abdel réagit :
— Comme c’est bon, c’est bon !
Je décide de le punir pour avoir rompu le charme. Je retourne à la salle de bains, en reviens avec une large bande de tricostéril, et… l’applique sur sa bouche.
— Tu veux que ce soit moi, le maître ! J’ai dit oui ! Je veux que tu te taises, et donc tu vas te taire ! Ça va ?
Il agite la tête de bas en haut pour m’indiquer qu’il accepte le jeu et ses règles. Je recommence ma caresse buccale.
— Mmmmh !!! Mmmmmh !!
Ma langue pénètre doucement, puis moins doucement, et plus tard le plus profond possible dans son anus.
— Ouaammmmmhh ! Mmmmh !
L’excitation d’Abdel est le meilleur des excitants pour moi. Ma queue est tendue vers le haut et j’ai beaucoup envie de jouir, mais je sais qu’il est beaucoup trop ...
... tôt, et je me retiens. Abdel a rouvert les yeux, bien sûr. Il se retourne régulièrement et ses yeux me disent son désir. Sa queue aussi, d’ailleurs. Parfois, je la caresse avec la main, allant des bourses vers le gland… et le « langage MMMMmmmh » d’Abdel monte d’un ton. Je lui souris vicieusement, ne lui laissant aucun espoir sur la rapidité de la suite à venir.
Et puis mes yeux se sont posés sur le pot de miel. Et puis mes mains. J’ai trempé mon majeur droit dedans, et l’ai doucement introduit dans l’anus d’Abel.
— Ma langue, mon doigt, du miel ! Je te gâte, Abdel, hein ? ! Tu aimes ?
— Mmmmmhhhhh.
En tout cas, ça ne lui déplaît pas, j’en suis sûr ! Mon doigt mielleux va au plus profond possible de sa longueur. Puis je me mets à dessiner des cercles d’abord étroits, puis un peu moins… jusqu’à ce que mon doigt trouve toute son aisance. Je reviens me réapprovisionner chez les abeilles avec l’aide de l’index, et ce sont maintenant mes deux doigts qui peinent d’abord, puis beaucoup moins ensuite en tourbillonnant dans le joli cul d’Abdel.
— Ça te plaît, mon joli ? Tu commences à jouir ?
Sa réponse, il la fait en ondulant de la croupe et en articulant quelques sons qui traduisent sans ambiguïté aucune son contentement.
— J’ai deux bonnes nouvelles, Abdel. Ton anus est dilaté comme je l’aime et on va pouvoir passer à la phase deux. Et comme t’as été obéissant, je vais t’enlever ton bâillon et tu auras le droit de parler.
Dont acte.
— Ah ! ce que c’est bon ! ...