1. Police polissonne (34)


    Datte: 14/05/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Pikatchu, Source: Xstory

    ... arrêter ce fumier.
    
    — On est bien d’accord ; as-tu réfléchi au jour où tu vas te retrouver face à face avec lui ? Et à ce qu’il va se passer ?
    
    — Non...
    
    — Alors imagine qu’il est là en face de toi. Mieux encore : je suis lui et imagine que tu as réussi à infiltrer son réseau, tu as aussi réussi à entrer chez lui dans sa belle villa payée avec l’argent de la drogue et du reste. Lève-toi ! lui ordonne-t-il.
    
    Sonia se lève, inquiète de ce que lui prépare le sergent ; car à l’entraînement il est parfois totalement imprévisible. Il prend le fouet en main et dit :
    
    — Tu vois ça, lui, il sait s’en servir ; pas toi, je me trompe ?
    
    — Non...
    
    — Alors on va faire une pause dans nos jeux, ce n’est plus le soumis, n’y l’esclave qui te parle ; mais le formateur. Tu vas apprendre comment te défendre face à ça, je te préviens je vais te frapper pour de vrai, comme il le ferait ; à toi de te débrouiller pour intercepter le fouet. Tu vas me sortir tout ce que tu as dans les tripes et tu en as, tu me l’as prouvé ; je sais que tu en es capable. Alors défends-toi.
    
    Les lanières du fouet déchirent l’air et claquent d’un coup sec sur les cuisses de Sonia qui n’a pas réussi à attraper les fines bandes de cuir. La douleur est vive, elle gesticule et saute d’un pied sur l’autre et se frottant les cuisses, la colère monte en elle. Alors elle réagit comme à la boxe, elle bouge sur la moquette pour tenter d’éviter le coup ; mais elle n’est pas assez rapide pour attraper l’engin qui ...
    ... lui cingle les seins.
    
    « Putain, ça fait mal ! Approche ... Putain ... Approche et je te mets en pièces ! » se motive-t-elle.
    
    Cette fois tout va très vite, elle a la bonne idée de se tourner et de présenter ses fesses, les lanières sifflent à nouveau et laissent des traces rouges sur ses rondeurs. Mais, sa détermination est intacte et son caractère combatif, lui fait sortir ses griffes. Elle retrousse ses babines comme le ferait un animal blessé ; elle est sur ses gardes. Cette fois elle est prête à riposter, les lanières de cuir lui cinglent une fois de plus les fesses, elle a très mal. Dans un mouvement rapide elle se retourne, attrape le fouet et l’arrache des mains du sergent qui est tiré avec force et bascule en avant. Il n’avait pas prévu qu’elle serait capable de lui arracher le fouet, et de lui envoyer un magistral coup de genoux dans les couilles. Il se plie en deux et s’écroule au sol. Elle ne perd pas un instant et entoure le cou de son agresseur avec les manières et serre. Lui suffoque et tape au sol, c’est le signal pour l’arrêt du combat en entraînement. Elle relâche le cou et libère le sergent ; il se redresse, la queue à la verticale.
    
    — Alors tu vois que tu peux y arriver.
    
    Surprise par ce qu’elle vient de faire, elle le regarde stupéfaite.
    
    — Mais tu bandes ! Eh !... Mais, putain, tu as éjaculé sur la moquette ! dit-elle en éclatant de rire, et une fois la crise de rire terminée ; Bob s’excuse.
    
    — Je suis désolé mais cette séance m’a terriblement ...