Folies en rut majeur (7)
Datte: 13/05/2020,
Catégories:
Erotique,
Auteur: Anthynéa, Source: Xstory
... pouvait aussi se trouver être d’un érotisme accru. Il bandait sans effort, sachant que son épouse était tripotée pour de bon, autant par sa paluche que par celle de son ami.
Elias de son côté aussi, avait la queue qui poussait sa braguette. Et la pression exercée par la paume féminine qui insistait à cet endroit-là n’était pas faite pour arranger les choses. Aline soupirait ! Difficile de camoufler plus longtemps cette incroyable envie à son mari. Du reste elle venait de le voir fixer le possesseur de l’autre mimine. Gaby avait les yeux rivés sur son meilleur ennemi, mais il n’avait pas dit une parole. Alors, la jeune femme en tournant la tête, venait pour lui donner une récompense digne de cette soirée. Elle collait ses lèvres sur celles de son homme. La langue immédiatement qui entrait en action électrisait le mari.
Mais par contre, cette simple manière de l’embrasser avec volupté, l’empêchait du même coup de poursuivre avec sa main ses investigations plus gênantes pour leur complice. Celui-ci sans se faire prier, lançait son majeur dans la bataille, ou plus exactement, dans la faille qui, déjà en pleurait de joie. Il avait suffi de deux ou trois mouvements dans le ventre de la brune pour que déjà elle pousse d’étranges petits cris. Bien entendu, elle tentait en se mordant les lèvres de rester la plus discrète possible. Mais pas moyen de les retenir tous… ils s’échappaient d’elle des murmures plaintifs.
Elle se laissait branler dans une salle quasiment pleine de ...
... spectateurs et son mari assistait à ce spectacle sans broncher. La peur de la perdre avait donc eu un effet bénéfique sur ce dernier ? Un court instant, en fermant les yeux, elle en doutait, puis elle s’enfonçait dans cette envie poignante qui la pénétrait partout, au rythme des phalanges qui coulissaient en elle. C’était trop bon, un délicieux gout d’interdit qui la ravissait de plus en plus. Plus jamais, elle ne ferait machine arrière ! Que Gabriel soit d’accord ou non n’y changerait plus rien. Désormais, elle voulait vivre sa sexualité, avec ou sans lui, mais toujours à cent à l’heure.
Et soudain en elle un volcan venait de s’ouvrir, crachant non pas de la lave bouillonnante, mais un liquide clair qui lui inondait le bas du ventre. Elle cherchait de l’air s’accrochant au bras de son mari, lui plantant les ongles dans la chair. Elle avait l’air d’un zombie, d’une affamée, d’une toxicomane en manque, à ceci près que ce n’était que le sexe sa drogue. Sa tête se berçait sur son cou de gauche à droite, ses yeux se révulsaient et elle ne pouvait plus vraiment retenir ses cris presque sauvages. Une partie de l’avant-dernier rang de fauteuil tournait les regards vers cette femme qui couinait.
Elle arrachait brutalement la main qui la fouillait. Elias ne s’en offusquait pas pour autant. Il avait bien senti que cette femme venait de prendre son pied. L’orgasme qu’elle avait eu, présageait d’une issue heureuse à cette soirée. Et il avait la ferme intention de la baiser le plus ...