Folies en rut majeur (7)
Datte: 13/05/2020,
Catégories:
Erotique,
Auteur: Anthynéa, Source: Xstory
... prête à lui murmurer quelques mots quand il la pourfendait de plus belle. Pas de ménagement ; pas de pause, pas d’armistice, elle voulait de l’amour guerrier, alors qu’elle subisse ce pieu qui la perforait. Elle voulait de la bite violente, il saurait bien la rendre heureuse. Ce type qui la tringlait, d’une si brillante façon, n’avait plus que l’apparence de son mari. Il était devenu en quelques minutes une brute qui enculait, baisait sans aucun remords. Elle aimait ça…
— oooOOooo —
La joute s’achevait par un match nul. Lui aussi avait éjaculé, mais en elle cette fois, sans se soucier de la prise ou non d’une pilule quelconque. Après tout elle aimait ça et bien qu’elle assume. Elle se relevait le dos fourbu, les reins cassés. Il n’y était pas allé de main morte, mais bon sang, ce que c’était bon. Elle avait joui comme une damnée. Et en lui roulant un dernier patin, il espérait bien qu’elle allait revenir au bercail. Elle l’avait trompé ! Qu’à cela ne tienne, il saurait bien oublier ! Elle voulait de la nouveauté, des moments forts ? Eh bien ! Il saurait trouver les ressources pour qu’elle s’épanouisse, mais avec lui. Il se laisserait tenter par un libertinage de bon aloi. Les couples échangistes qui faisaient les beaux jours des clubs supporteraient bien un peu de concurrence. C’était décidé, il allait lui donner ce qu’elle attendait.
Assise sur leur canapé de leur salon, elle écoutait Gaby lui débiter ses attentes. Elle n’avait plus envie de tout abandonner, ...
... les risques encourus s’avéraient trop fréquents. S’il voulait à nouveau d’elle, s’il lui garantissait d’autres soirées comme celle passée là, pas de souci, elle serait de nouveau sa compagne pour un long moment. C’était là qu’il avait gagné des points. Puis libertiner lui plaisait bien à elle également. Ça lui assurerait surtout une sacrée garantie de tranquillité. Il lui parait même de l’aider si elle voulait continuer à… se vendre. La seule condition qu’il y mettait, qu’elle le fit quand il était dans la maison. Elle n’en revenait pas d’écouter tous ces arguments et devait se rendre à l’évidence, soit il était devenu dingue, soit il l’aimait à en crever.
Elle choisissait de lui faire confiance et le lendemain ses affaires réintégraient la maison conjugale. Elle se réservait le droit de vendre ou non la maison fraichement acquise. Du reste, elle voulait voir comme les choses évolueraient avant de prendre une décision, dans un sens ou dans l’autre. La vie reprenait rapidement un cours normal, bien que Gaby, très attentif à donner à son épouse une plus grande attention, restât d’une vigilance exacerbée. Puis alors qu’elle ne s’y attendait pas, un soir, il ne revint pas seul à la maison. Il lui présentait celui qui rentrait avec lui comme… un collègue venu du sud de la France. C’était aussi certain que l’ami en question avait un accent bien prononcé. Elle imaginait déjà qu’ils allaient tous les deux travailler dans le bureau de Gabriel. Ayant sans doute un projet de boulot ...