Une aventure érotique : Je suis une garce - Histoires de Sexe

Une aventure érotique : Je suis une garce

... gare à quelques maisons de là et discrètement, j’entre à pas de loup dans le jardin de Julie. La chambre est au rez-de-chaussée et en ce début de mois de Juin, la chaleur est telle que la fenêtre est sûrement ouverte ou entre ouverte. Je n’étais pas à cinq mètre de la fenêtre que m’arrivent à l’oreille les bruits caractéristiques d’un couple faisant l’amour. Je glisse un œil dans la pièce et j’aperçois Julie chevauchant mon époux. Ce spectacle est de trop pour moi et je manque m’évanouir… Je décide tout de même de rester cachée, attendant que mon mari quitte les lieux…

Je n’ai eu à attendre qu’environ une demi-heure pour entendre la voiture de mon mari démarrer, j’allais quitter ma cachette quand j’entendis mon amie par la fenêtre qui téléphonait à une autre de mes copines à savoir Aude… La conversation portait sur mon mari !!! Ainsi non seulement j’étais cocufiée, mais en plus je passais pour une gourde naïve aux yeux de mes amies ! Je tendis l’oreille.

« Oui, il vient juste de me quitter, le pauvre ce n’est pas une affaire au lit ! Je plein la pauvre Jade (c’est mon nom), mais il est généreux et me paye de bons restos et de jolis bijoux ! »

La salope me pensais je !

« Tu as raison, Aude, ce n’est pas sympa pour Jade ce que je fais, mais franchement si elle ne profite pas de son con de mari, il faut bien que quelqu’un le fasse ! Moi en tout les cas si j’étais elle je peux te dire que je ne me comporterais pas comme elle le fait avec lui ! Ce type est un minable ...

... !... »

S’en était trop, enjambant la fenêtre, j’entrais comme une furie dans la chambre de Julie ! Folle de rage je l’agrippais par les cheveux et la fit tomber à terre.

S’en suivis un combat de fille, c'est-à-dire crêpage de chignon et cris stridents. Une fois calmée, en pleur je demandais à mon amie comment elle avait pu me faire cela.

Elle me raconta toute l’histoire, que mon mari la draguait depuis des années mais qu’elle ne lui avait jamais cédée en raison de notre amitié. De plus, il ne lui plaisait absolument pas. Au fil des ans, il l’a couvrit de cadeaux, se faisant toujours plus pressant… Un jour qu’il l’avait invité au restaurant et alors qu’elle était un peu saoule, elle lui céda finalement. Bien sur elle le regretta aussitôt mais le mal était fait… Leur liaison durait maintenant depuis trois mois !

Julie pleura beaucoup, en me demandant de lui pardonner, elle me jura de ne plus revoir mon mari, qu’elle ne l’aime pas, qu’elle profite juste de son argent… Ensuite alors que j’étais un peu calmée de ma crise de nerf, elle me demanda comment je faisais pour être aussi naïve : mon mari me trompait à tour de bras, non pas, que c’était un don Juan, bien au contraire m’appris t’elle, mais profitant de son argent il attirait toute sorte de filles facile dans son lit ! Elle m’apprit aussi que mes soucis de frigidités étaient sûrement due au fait que mon mari avait un sexe trop petit pour me satisfaire !

Finalement avec le recul, cette conversation avec Julie me ...