1. Début de soirée


    Datte: 13/05/2020, Catégories: fh, couple, fépilée, caférestau, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, jeu, Auteur: Pierre et Carole, Source: Revebebe

    ... c’est dans la tête. Pourtant j’aime bien ça. C’est très plaisant de sentir sa poitrine nue libre de ses mouvements sous un petit débardeur. C’est un peu comme quand tu ne portes pas de culotte ; tu te sens libre, qu’est-ce que c’est agréable.
    
    Carole me précise qu’elle a dit cela dans le feu de la discussion sans arrière-pensée, mais qu’elle s’est aperçue en avoir trop dit, dès que ses mots sont sortis de sa bouche. En effet, même si elles ne sont pas ce que l’on appelle des saintes-nitouches, elles sont toutes les deux issues d’un milieu assez bourgeois, plutôt catho, dont l’habitude familiale est plus la jupe longue en tweed avec un petit chemisier au col fermé que la mini en jean, alors pour ce qui est de se promener les fesses à l’air, je vous laisse imaginer. Aude tombe donc des nues.
    
    — Qu’est-ce que tu dis ? Lorsque tu ne mets pas de culotte ? Cela t’arrive ?
    — Quelquefois, oui !
    — Je ne peux pas croire que tu fasses cela, avec tes jupes courtes, à la merci du premier voyeur venu. Je ne me permettrais jamais cela. Je me demande comment t’as pu avoir une telle idée.
    
    Voyant sa réaction, un mélange d’étonnement et de désapprobation, et se disant en elle-même qu’elle en a trop dit, Carole décide, pour la rassurer un petit peu, d’essayer de minimiser les choses et de lui raconter la première fois où c’est arrivé.
    
    — T’es en train de me prendre pour une dépravée ou quoi. Faut pas exagérer ! Tu sais, ça s’est fait complètement par hasard. J’étais avec Pierre ...
    ... depuis deux ou trois ans déjà, et nous passions des vacances à La Baule, dans la maison de mes parents. Nous étions à la grande plage, et à l’heure de rentrer, il faisait si chaud que nous avons eu envie de prendre un dernier bain juste avant de partir. Une fois sortis de l’eau, nous avons regagné notre place pour nous changer.
    
    À l’évocation de cet épisode de notre vie commune, tandis que Carole poursuit son récit, il me revient à l’esprit des souvenirs beaucoup plus précis que ce qu’elle en raconte. Je vais donc substituer ma version de l’histoire au récit succinct qu’elle en a fait à son amie.
    
    Une fois à nos affaires, je m’enroule difficilement dans ma serviette pour ôter mon maillot et enfiler mon slip et mon short. Pour Carole, c’est plus simple. À l’époque, elle portait encore un maillot une pièce ; elle n’avait d’ailleurs que cela. Elle en descend les bretelles et l’enroule autour de la ceinture. Elle a fait beaucoup de sport dans sa jeunesse, et n’a pas de tabous vis-à-vis de son corps ; même si elle n’est pas adepte du monokini, montrer sa poitrine en public ne l’a donc jamais gênée. Encore un de ses paradoxes, car à côté, cela la dérange de se trouver sans soutien-gorge dans une soirée entre amis. Ensuite elle enfile sa robe de plage, une mini-robe en coton très près du corps, et, pour éviter de la mouiller, ôte complètement son maillot. À ce moment, elle se rend compte qu’elle est partie de la maison avec son maillot directement sous sa robe, et qu’elle n’a rien à ...
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