Début de soirée - Histoires de Sexe

Début de soirée

... boulot, et comme on ne s’était pas vu depuis pas mal de temps, elle m’a proposé qu’on vienne dîner. Pourquoi ? Cela t’embête ?
— Non, pas du tout. Tu sais bien que je la trouve plutôt sympa. J’avais juste peur qu’il y ai aussi le gros lourd de l’autre fois.
— Tu parles de son copain du boulot. Tu ne risques pas de le revoir, du moins pas chez elle. Elle le trouvait sympa, mais il a dernièrement été un peu trop entreprenant, et elle a dû le remettre à sa place. Et maintenant, il lui fait la gueule.
— Va quand même bien falloir qu’elle se lâche un jour, si elle veut trouver quelqu’un. D’un autre côté, c’est sûr que celui-là, il n’était pas top.

La route est droite, et comme j’aime à le faire dans ces moments, je pose négligemment la main sur les cuisses de Carole.

— Ta tenue me plaît bien. C’est ta nouvelle jupe ?
— Oui. Je pensais bien qu’elle te plairait. C’est un peu pour ça que je l’ai choisie.

Je ne sais pas encore ce qu’elle porte sous sa jupe, et ma main remonte lentement le long de ses cuisses pour le découvrir. Carole porte rarement une culotte lorsque nous sortons tous les deux le soir, notamment au restaurant ou pour un cinéma. Mais quand nous sortons pour des soirées intimes chez des amis, elle met en revanche plutôt un string. Dans de telles soirées, où chacun est susceptible de s’asseoir dans un canapé pour prendre l’apéritif, cela pourrait, en effet, engendrer des situations assez gênantes pour elle, si elle mettait son minou rasé sous le nez des ...

... autres convives. Dès que j’ai le dos tourné, Carole a cependant vite tendance à reprendre ses vieilles habitudes et à enfiler une de ses vilaines petites culottes en coton. La culotte Sloggy, celle de base, opaque, toute blanche, avec des bords d’au moins dix centimètres, cela vous dit quelque chose ? C’est peut-être très confortable pour celle qui la porte, mais, à mon avis, comme tue-l’amour, on ne fait pas mieux. C’est cela que je veux vérifier : ce soir, un mignon petit string en dentelle ou une culotte de grand-mère - si encore elle était fendue, comme à l’époque.

Ce soir, alors que ma main atteint maintenant son entrejambe, je suis tout surpris lorsque je découvre son intimité complètement nue. Immédiatement, et malgré l’habitude d’une telle situation, cette surprise déclenche chez moi des sensations bien agréables.

— Tiens, c’est nouveau ! Tu ne mets plus de culotte pour aller chez ta copine.
— Je me suis pressée. T’étais en bas à m’attendre. Et j’ai oublié.
— Oublié ? Tu n’as rien trouvé de mieux. Et en plus, cela va être de ma faute maintenant.
— Non, en fait, en arrivant du boulot, je me suis changée. Après je suis allez préparer le repas des enfants dans la cuisine. En allant faire pipi, en voyant ma grosse culotte de coton, je me suis dit « elle ne va pas lui plaire, faut que j’en change ». Je l’ai mise dans le panier à linge. En sortant la petite m’a appelée. Je suis allée la voir, elle voulait que je lui ouvre son yaourt. C’est seulement en descendant ...