Comment j'ai découvert ce que j'aimais - Histoires de Sexe

Comment j'ai découvert ce que j'aimais

Je m’appelle Vittorio et j’habite seul à la campagne dans le haut Beaujolais. Je suis un amateur assidu des films vidéo pornos et de revues ou magazines de sexe. Je suis obsédé par les femmes (de préférence d’âge mûr et aux gros seins). Voilà ce qui m’est arrivé il y a trois semaines et qui, depuis, a bouleversé ma vie de solitaire.

Je me promenais au bord de la route lorsque j’ai aperçu sur le bas-côté une petite revue, jetée sûrement d’une voiture. Je l’ai prise. Il s’agissait d’une revue consacrée à des photos sexy de Sabrina (la chanteuse italienne). On voyait ses beaux et gros nichons à chaque page. J’ai feuilleté la revue ; les photos commençaient à me faire de l’effet et j’avais hâte de rentrer pour me branler. Mais j’étais encore loin de ma maison, et le seul moyen d’y arriver rapidement c’était de faire du stop.

Et j’ai fait du stop au bord de la route.

Une voiture s’est arrêtée et je suis monté devant, à côté du conducteur. C’était un homme de mon âge bien habillé. Il a accepté de me déposer quelques kilomètres plus loin, devant ma maison. Il m’a dit qu’il était représentant de commerce et qu’il faisait souvent ce trajet. Tout en me parlant, il n’arrêtait pas de regarder la petite revue que je tenais dans mes mains. Il m’a demandé ce que c’était et j’ai répondu que je l’avais trouvée au bord de la route.

Je l’ai feuilletée rapidement pour lui montrer de quoi il s’agissait, et la conversation est vite partie sur les appas mammaires de Sabrina. Il a alors ...

... ouvert la boîte à gants et m’a demandé de regarder ce qu’il y avait dedans. Il y avait trois romans-photos pornos. J’ai pris les livres et je me suis mis à les feuilleter. Je me rappelle très bien que le premier s’appelaitBourgeoise et pute ; on y voyait la belle actrice du porno, Marilyn Jess dans toutes les positions possibles et imaginables.

Je commençais à bander car je connais bien les films de cette actrice et elle m’excite énormément. Lui, voyant mon intérêt pour ses romans-photos, tout en conduisant, a ouvert sa braguette et a laissé jaillir sa queue. Il bandait, et sa grosse queue dressée touchait le volant. Je bandais aussi et il n’avait aucun mal à s’en rendre compte en regardant la bosse proéminente de mon jogging. Il m’a demandé si on pouvait s’arrêter un moment dans un coin ; je l’ai compris, et machinalement j’ai accepté.

Il a pris un petit chemin et s’est arrêté au milieu des bois. Il a avancé la main et l’a posée sur la bosse de mon pantalon. Je ne quittais pas des yeux sa queue dressée qui sortait fièrement de sa braguette ouverte. L’envie était irrésistible, et j’ai craqué. J’ai avancé ma main et l’ai posée sur son gland violacé, j’ai frotté mes doigts le long du nœud et j’ai fini par l’empoigner. Une sensation extraordinaire m’envahit et l’excitation me fit tourner la tête. Voyant que j’étais novice dans ce genre d’attouchements, il a pris les bouquins et m’a demandé de sortir de la voiture. Il a étalé les revues sur le capot de sa voiture et, tout ...