Une divine surprise suite – 6
Datte: 12/05/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Puceron, Source: Hds
Dimanche 21 août 1960 – Chez elle
Comme convenu j’arrivais chez Evelyne vers 7,00 heures du soir, rangeais ma mobylette dans le garage à vélos. Personne dans l’entrée de l’immeuble, comme demandé je frappais (la sonnette faisant trop de bruit) la porte s’ouvrit aussitôt, Evelyne devait être derrière. Aussitôt à l’intérieur, dans la pièce que j’avais déjà connu quelque temps avant, nous étions l’un contre l’autre à nous embrasser, à nous frotter, en fait Evelyne avait l’art de rouler des hanches, ce qui entrainait rapidement et immanquablement une enflure au niveau braguette, ce qu’elle semblait apprécier à chaque rencontre. Enfin nous nous décollâmes et je pus la regarder. La surprise. Elle portait un chemisier certainement une ou deux tailles en dessous. Le décolleté, très échancré, commençait à partir d’un bouton fermé au niveau du dessous de la rotondité des seins, qui gonflaient généreusement le corsage, mais ne pouvaient pas s’en échapper. Il était d’un tissu presque transparent ce qui permettait de deviner le sombre des aréoles et tellement fin qu’il risquait d’être percé sous la pression des mamelons, tellement ils étaient dressés. La minijupe noire, réellement mini avait été cousue sur elle et lui arrivait à mi cuisse, ce qui permettait d’admirer, non seulement son joli cul, mais aussi ses jolies cuisses, pas des cuisses de moineau, mais de belles cuisses. Enfin, elle était chaussée de ses éternels escarpins qui devaient bien lui faire gagner une dizaine de ...
... centimètres.
Moi : « Quelle élégance, tu me surprendras toujours par ton élégance hors des tenues au magasin »
« C’est vrai, au magasin c’est un peu un uniforme, je ne pourrais pas m’habiller ainsi. »
« Moi, je te trouve superbe et excitante »
« Mon mari m’a traité de tous les noms la première fois que j’ai voulu sortir avec. Il voulait que je la jette, mais je l’ai gardée pour une occasion. Elle c’est présentée, c’est toi et c’est pour toi que je l’ai mise, j’espérais que ça te plairait et je veux que tu passes, que nous passions une soirée inoubliable, car tu pars bientôt, je veux me soumettre à tous tes désirs, à toutes tes envies et à toutes mes envies »
« Tu es splendide, viens j’ai envie de libérer tes seins qui ne demandent qu’à prendre le large »
« Installes toi, j’ai préparé un apéritif, je vais le chercher, après, tout ce que tu voudras, j’espère que tu auras de l’imagination, car moi j’ai d’autres surprises pour toi, installes-toi, je reviens »
Elle partit en balançant son joli cul, je suis persuadé qu’elle augmenté volontairement ce balancement, qui était d’autant plus suggestif, que la mini l’enveloppait et qu’elle n’entravait pas la démarche comme le faisait les jupes droites.
Quelques instants après : « J’arrive avec de quoi boire » En fait, elle avait ouvert son corsage, ses seins étaient libres et elle tenait un plateau sur lequel, il y avait 2 verres, mais le plateau était tenu à une telle hauteur que de ma place j’avais l’impression que ses ...