Train de nuit
Datte: 06/04/2018,
Catégories:
fh,
inconnu,
train,
Oral
préservati,
pénétratio,
baillon,
Auteur: Mélanie, Source: Revebebe
Je m’appelle Mélanie, je suis une grande blonde mince aux yeux noisette. J’ai une petite poitrine mais je suis très fière de mes jambes fines et de mes fesses fermes et légèrement rebondies. L’histoire que je vais vous raconter s’est déroulée l’an dernier, au début de l’été, à la fin d’une belle journée ensoleillée. Je prenais le train de nuit pour aller voir une amie dans le sud. J’étais vêtue d’une jupe légère et flottante grise, assez courte, d’un débardeur bleu ciel et de sandales en cuir marron. Dessous, je portais un string et un soutien-gorge blanc. La chaleur m’avait empêchée de mettre de la dentelle, j’avais préféré un modèle simple, en coton, pour éviter les irritations. Je voyageais en première classe et depuis Paris j’étais seule dans le compartiment, installée à côté de la vitre. Je lisais un livre que je venais d’acheter et j’avais du mal à rester éveillée.
Après un arrêt dans je ne sais plus quelle gare, alors que je somnolais à moitié, un homme entra dans le compartiment. Il me dit bonjour en me souriant, je lui rendis son sourire et son bonjour. Il vint s’asseoir en face de moi et se plongea lui aussi dans la lecture d’un livre assez épais. Cependant, je voyais bien que son regard quittait de temps en temps les pages pour se laisser aller vers mes jambes. Il faut dire que j’avais les jambes croisées et que ma jupe remontait assez haut sur mes cuisses, mais sans dépasser ce que la décence permet. À la dérobée, j’examinai aussi cet inconnu par ailleurs ...
... charmant. La quarantaine, brun, assez grand et bien bâti, il avait des cheveux courts et un visage attirant. Il portait un pantalon de toile et une chemise, ainsi que des mocassins. Le train s’arrêta dans plusieurs gares sans que personne ne nous rejoigne dans le compartiment. Nous ne nous étions pas échangé d’autres mots que le bonjour initial. À un moment, mon marque page glissa de mon livre pour tomber entre nos pieds. Alors que j’allais me pencher pour le ramasser, il m’arrêta :
— Laissez, je vais le faire.
Il s’agenouilla à mes pieds et ramassa le bout de carton. Il leva la tête et me fixa. J’étais assez gênée par son regard pénétrant. Mais au lieu de me rendre directement mon marque-page, il fit remonter la main qui le tenait le long de ma jambe droite, croisée sur celle qui était à terre. Il me caressa de la cheville jusqu’à mi-cuisse, en cherchant à bien en effleurer l’intérieur. Il s’arrêta une fraction de seconde à l’endroit où mes cuisses reposaient l’une sur l’autre, bloqué dans son mouvement puis, sans hésiter, il souleva ma jambe avec son autre main pour largement écarter mes cuisses. J’étais complètement immobile, d’un côté abasourdie par autant d’audace et de l’autre véritablement excitée. Je sentis rapidement que mon vagin se mettait à couler dans mon string.
Une main sur chacune de mes cuisses, il reprit son exploration et il progressa sous ma jupe jusqu’à mon string. Sans que son regard ne quittât le mien, il commença à caresser mon sexe par-dessus le ...