1. Souvenirs d'une productrice de films X (2)


    Datte: 11/05/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Jademik, Source: Hds

    Georges me fait le signal pour débuter mon speech. Je fais de mon mieux pour m’appliquer, n’allant pas trop vite. Au bout de quelques minutes, on me demande d’écarter un peu les cuisses afin que l’on aperçoive ma petite culotte blanche (la caméra vient faire un premier tour sous la table). Je distingue bientôt quelques attouchements discrets dans la salle : les garçons attaquent les premiers l’entrejambe de leurs voisines, lesquelles en font bientôt de même à leur endroit. Cela commence à m’émoustiller et, tout en restant concentrée sur mes lignes, j’écarte un peu plus les cuisses machinalement.
    
    Arrivée à la page 5, je perçois plusieurs petites culottes tombées aux chevilles et quelques sexes en érection sortis de leurs braguettes. Profitant du trouble, un jeune vient s’asseoir sur l’estrade au pied de ma table. Il s’en prend bientôt à mes jambes, qu’il caresse doucement jusqu’aux genoux, redescend et ainsi de suite. Puis il fait de même avec mes cuisses, m’invitant à les écarter plus encore. Lorsqu’il atteint mon entrejambe, un spasme m’envahit et me fait un peu dérailler.
    
    Pendant qu’il presse mon sexe au travers de l’étoffe déjà moite, toutes les filles ont sorti les membres de leurs voisins et les branlent frénétiquement. Le type sous la table m’invite à me soulever afin de faire tomber ma petite culotte sous l’œil expert du caméscope. Je sens par ailleurs des mains derrière moi se poser sur mes hanches et chercher à ouvrir ma jupe, ce qu’elles réussissent à faire ...
    ... rapidement. Je continue donc à professer presque l’air de rien, la chatte à l’air. Des doigts puis bientôt une bouche et une langue me fouillent, m’écartent le sexe pendant que l’on déboutonne ma chemise en me pressant les seins. J’ondule de la croupe mais essaie toujours de garder le contrôle. Une jeune fille du premier rang lâche les deux sexes qu’elle a en main pour venir prendre le relais du gars sous la table, lequel place les poufs à côté de moi en gradins ; la langue de la fille est beaucoup plus douce et il me faut vraiment faire attention pour ne pas m’abandonner à elle.
    
    Ma diction commence à s’en ressentir nettement et je n’en suis qu’à la page 8. Les deux jeunes délaissés du premier rang, vêtus d’un simple slip, montent alors sur les poufs jusqu’à ma hauteur. Je sens la protubérance et l’odeur de leur slip se rapprocher pendant que l’on retire ma chemise. À la page 9 de mon docte discours, me voici juste en soutif, une fille me léchant l’entrejambe, deux mains me palpant les seins, deux bosses de tissu me frôlant le visage, le tout avec une vue imprenable sur des dizaines de queues à la verticale en train de se faire astiquer ! Les deux gars à mes côtés me prennent chacun une main pour la guider jusqu’aux bosses en question et se caresser avec. Ils me laissent faire ensuite toute seule, ce qui perturbe encore plus ma lecture, l’estimation en aveugle (ou presque) de leurs dimensions me troublant réellement. À la page 10, n’y tenant plus, j’abaisse leurs slips l’un ...
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