1. Mon prof de français (2)


    Datte: 11/05/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: SarahG, Source: Hds

    ... même temps que lui. Il pousse un bref éclat de rire et commence à me tirer jusqu’au bureau. Il parvient à m’y faire asseoir, et, se tenant debout entre mes jambes qu’il a écartées, il m’interroge :
    
    « Pouvez-vous m’expliquer ce qu’est une ekphrasis, mademoiselle Gibert ? »
    
    « Oui, euh… » (il continue de jouer avec mes seins) « C’est une description enchâssée au sein d’un récit qui… euh… décrit un objet. Comme celle du bouclier d’Achille dans l’Iliade. »
    
    « Au sein d’un récit, oui, c’est à peu près ça en effet. Le récit d’un sein correspondrait à la définition n’est-ce pas ? »
    
    « Oui, monsieur, je suppose ! »
    
    Je suis littéralement en train de fondre sur ce bureau et lui trouve le moyen de faire un jeu de mots. Les profs de lettres ont parfois un humour particulier. Pendant ma petite interrogation, il ne cesse de tirer sur mes tétons dressés d’excitation. Mes seins ne sont pas très gros, je dirais qu’ils font la taille de deux petites oranges, mais ils sont ronds et fermes. On m’a déjà complimentée à leur propos en tout cas. Notamment, il paraît qu’ils sont juteux, c’est ce qui m’a fait penser aux oranges. J’aime l’idée que mes deux globes sont aussi fiers d’eux que je le suis, à cause de cette façon presque agressive de pointer légèrement vers le haut, comme un défi. Et ce contraste saisissant entre la teinte du téton et la pâleur laiteuse de la chair qui l’environne, peut-on rêver d’une dissonance plus harmonieuse ? On dirait une cible de fléchettes sur un mur ...
    ... blanc, l’iris noir d’un œil farouche, un volcan au milieu d’un océan de lait.
    
    Excusez-moi, mais quand je suis excitée je me sens un peu d’humeur poétique. M. Guy contemple mes seins, leurs mamelons foncés d’où émergent mes petits tétons dressés. Il en aspire un dans sa bouche. Il le travaille à petits coups de langue, pince ses lèvres de temps en temps pour tirer dessus. Je soupire, me tords de plaisir, il est obligé de saisir ma gorge pour me faire tenir tranquille et maintenir sa bouche sur ma poitrine. Jouant alternativement de sa langue et de ses dents, il les aspire, les mord, les lèche, les presse et les caresse... et je ne peux penser à rien d’autre qu’à la trique que je sens depuis un moment contre ma cuisse. Je retiens un gémissement d’aise lorsqu’il me retourne sur le bureau, ce qui n’est pas sans me rappeler de cuisants souvenirs. Est-ce qu’il va enfin me prendre ? A vrai dire, je m’attends plutôt à une nouvelle fessée. Pour être plus précise, et honnête, j’espère, j’espère follement qu’il va me flanquer une nouvelle fessée. Je veux sentir ses mains s’abattre sur mon cul, qu’il me torture délicieusement comme la dernière fois. Ma satisfaction ne fait plus aucun doute lorsqu’il fait glisser d’un geste mon jean le long de mes cuisses. J’attends.
    
    « Vous ne pensiez tout de même pas que votre retard allait rester impuni, n’est-ce pas ? »
    
    Il n’y a plus de doute possible ! Je sens que sa main va s’abattre sur mes fesses d’un instant à l’autre. Un ange passe… Je ...