Maman : ma mère, ma maîtresse, ma femme (10)
Datte: 10/05/2020,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Solo92, Source: Xstory
... retrouvant mes jouissances d’antan, une bonne douzaine de giclées de foutre dans la cramouille maternelle ! Maman pousse un hurlement à ameuter l’immeuble. Quelle extase !
J’ai malgré tout conscience d’avoir joui trop vite. D’autant plus dommage que c’est la dernière entre nous. Maman me rassure de suite.
— Mon amour, c’est notre dernière séance d’accord, mais elle peut comporter plusieurs parties avec des entractes, non ?
C’est ainsi que nous allons remettre ça une autre fois dans l’après-midi. A présent je veux ma Valérie d’amour au naturel, lui retirant ses chaussures, ses bas, son porte-jarretelles et… ses lunettes. Je la retrouve nue, belle, merveilleuse, même si son corps n’offre plus la même perfection. Ma Valérie adorée sera léchée de la tête aux pieds (vieux souvenir !), puis baisée, enculée, dans de multiples positions, mais à présent sans hâte, dans une totale sérénité.
Je garde particulièrement en mémoire notre dernière sodomie. Maman demeure couchée sur le flanc gauche, j’infiltre une jambe entre les siennes, je me colle contre son dos. Avec une infinie lenteur, j’entre et sors de ses fesses, comme un film au ralenti. Je sens son rectum qui m’aspire à chaque entrée, me rejette à chaque sortie. Ainsi, cette sodomie se prolongera très longuement. Pas de douleur pour ma chérie, et pas de risque de débander ni de jouir trop vite pour moi. Je me trouve si bien dans son cul, que je ne me presse aucunement pour accélérer le mouvement. Je lui murmure à ...
... l’oreille :
— Oh Maman, comme c’est bon de t’enculer ! Comme cela va me manquer !
Elle me commande alors de ne plus bouger. Enculée jusqu’à la garde, ses globes charnus écrasés contre mon ventre, elle se met à comprimer puis relâcher son anus autour de mon sexe, le comprimer, le relâcher, un grand nombre de fois. Quelle merveilleuse sensation ! Si ma queue reste figée dans son conduit anal, mon bras droit passe par-dessus Maman, je ne cesse de palper ses gros seins, honorant en même temps son cou et son épaule droite d’une foule de petits bisous mouillés. Emmanché au maximum dans son cul, je ne bouge pas d’un seul millimètre. Je me retire quelques instants, et admire le petit anus complètement dilaté, trou béant qui très vite se referme pudiquement. Cette fois sans le moindre effort, je m’enfonce à nouveau dans les entrailles brûlantes de Maman. Et je vais et viens encore et encore dans ce beau cul d’amour. Maman n’émet en continu que de faibles « ouiiii, ouiiii… » Je m’active avec plus de vigueur, ses fesses claquent contre moi. Si les possibilités physiques le permettaient, je resterais volontiers des heures et des heures dans les fesses adorées, mais la nature commande.
Je fatigue, Maman ne gémit plus de plaisir, peut-être en a-t-elle assez, et elle n’ose me le dire. Alors, arrive la conclusion. Je me plante en elle aussi profondément que possible, Totalement immobile, je laisse l’explosion arriver, dans un processus que rien désormais ne saurait arrêter. Et je me vide ...