1. La femme de l'agence immobilière


    Datte: 10/05/2020, Catégories: Lesbienne Masturbation Auteur: pageblanche, Source: xHamster

    La femme qui nous fit visiter la maison qui nous intéressait, Laurent et moi, devait avoir trente ans. C’était une demeure ancienne à rafraîchir, située dans un petit bourg rural, dotée d’une cour intérieure, d’un jardin et d’une petite dépendance située à l’arrière. Sa mise en vente n’avait que deux ou trois jours et l’annonce sur Internet précisait que quelques meubles y subsistaient.
    
    Laurent et moi vivions ensemble depuis quatre ans, dans une maison en location. Un petit héritage de mon côté nous avait convaincu d’acheter. Nous n’avions pas d’enfant et n’étions pas mariés. Nous avions le même âge : trente-six ans.
    
    La femme nous accueillit avec un grand sourire et je vis tout de suite qu’elle plaisait beaucoup à Laurent. Je commençais à le connaître. Il ne savait pas dissimuler ses émotions. Je ne suis pas en train de dire qu’il a dragué cette femme, non, loin de là. Je dis seulement que sa façon de s’adresser à elle et de la regarder démontraient qu’il était sensible à son charme.
    
    Et elle était effectivement ravissante. Les cheveux bruns et lisses, coupés au carré. De grands yeux de chat, marrons, et de longs cils. Elle n’était pas très grande et semblait avoir une jolie paire de fesses, bien rondes. Elle portait une robe beige, assez courte, boutonnée devant et dotée d’une petite ceinture. La confirmation de notre rendez-vous par mail nous avait appris qu’elle se prénommait Emilie.
    
    La visite dura une heure environ, au cours de laquelle Emilie nous laissa ...
    ... nous déplacer librement dans les espaces. Laurent se retrouva seul avec elle à plusieurs reprises, mais ce fut aussi mon cas, en particulier une fois, dans la dépendance qui possédait une cuisine et une chambre.
    
    La scène s’est déroulée dans la cuisine. Elle dura une dizaine de secondes et ce fut un déclic pour moi. Emilie a ouvert un placard et s’est accroupie pour désigner un endroit où une fuite avait entraîné l’apparition de moisissures. Le bouton du bas de sa robe avait sauté et j’ai vu sa culotte. Noire en dentelle. Suffisamment transparente pour laisser deviner que son pubis était lisse.
    
    Elle ne s’en est pas aperçue tout de suite, et moi je n’ai pas vu grand-chose de ce qu’elle me montrait dans le placard. Quand elle leva les yeux et trouva mon regard posé sur ses cuisses, elle les referma doucement en disant :
    
    – Oh, excusez-moi.
    
    Je lui ai souri et on est restées à se regarder. Puis j’ai cessé de sourire et elle n’a pas baissé les yeux. Il y a des moments comme ça, dans la vie, qui se passent de commentaires. Des regards qui en disent longs, mais qui laissent cependant subsister un doute, surtout quand on ne connaît pas la personne qui se trouve en face de soi.
    
    Ce sont les pas de Laurent dans la cour qui ont mis fin à cet échange de regards qui dura bien cinq secondes. C’est long, cinq secondes à se regarder dans les yeux à la suite d’un tel incident.
    
    Sur le trajet du retour, avec Laurent, nous avons essentiellement parlé de la maison qu’on venait de ...
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