L'arroseuse arrosée
Datte: 10/05/2020,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
fsoumise,
hdomine,
chantage,
noculotte,
photofilm,
intermast,
facial,
Oral
fouetfesse,
Auteur: The sexy squirrel, Source: Revebebe
... j’allais faire du shopping avec des copines.
Pas trop le temps de m’y attarder, il faut que je garde les rênes de la situation bien en mains. Je reviens d’une voix posée au texte de mon scénario initial :
— Alors, Emma, qu’est-ce qui t’amène ici ?
Elle minaude en me répondant :
— C’est que, tous les matins, en m’habillant, je suis très embêtée…
Elle soulève les bords de sa robe jusqu’à son nombril, dévoilant à ma grande surprise son sexe à l’air libre. Quelle allumeuse de première !
— Tu vois, j’ai perdu ma culotte…
J’ai les yeux aimantés sur cette minette que j’ai tant reluquée en photo. Je remarque qu’elle a rasé ce qui lui restait de toison en une fine bande verticale de poils qui prolonge joliment sa fente. Impossible de résister. Bravo pour le sang-froid, oubliée la maîtrise : c’est le pur instinct du mâle aguiché par la femelle qui s’exprime. Je bondis sur elle, la plaque dos contre la porte et lui roule une pelle profonde, intense. Dans le même élan, je relève avec vigueur ses bras au-dessus de sa tête en les tenant d’une main ferme par les poignets. Cela laisse le champ libre à mon autre main pour aller farfouiller sous sa robe, direction son con. Lequel devient immédiatement humide quand mes doigts naviguent entre ses grandes lèvres, les ouvrent pour plonger une phalange en leur cœur.
Mon objectif principal est ailleurs, mon pouce le recherche en haut de sa vulve. Voilà, il est là, la petite crête caractéristique du capuchon de son ...
... clitoris. Je commence à le chatouiller et je sais que j’ai visé juste au petit cri aigu qu’émet Emma en réaction, mais je ne lui laisse pas l’occasion de s’exprimer davantage car je reviens l’embrasser goulûment. Je perçois pourtant encore ses piaillements étouffés alors que je martyrise son bouton si sensible. Elle s’abandonne à mes baisers fougueux qui descendent maintenant sur sa poitrine. Mon visage écarte au passage le haut de sa robe, ma bouche happe un téton déjà dardé, le suçote à l’en faire durcir, à la faire gémir. Et en bas, je la tripote toujours sans le moindre relâchement.
J’avoue avoir un peu perdu les pédales quand Emma a joué les exhibitionnistes et sur l’instant je l’aurais volontiers prise sauvagement contre cette porte. Mais j’ai depuis recouvré toute ma lucidité et je sais exactement où je veux en venir : je veux d’abord la faire grimper aux rideaux sous mes caresses. Ma main entière branle intensément sa chatte qui est devenue un véritable marécage. Son regard est déjà dans la vague, elle cherche l’air comme un poisson hors de l’eau, son corps est agité de spasmes. Je focalise ma masturbation sur son clitoris. J’entends, je ressens qu’elle est à l’agonie. L’orgasme la fauche d’un coup comme une décharge électrique, elle se tétanise et vagit de plaisir pendant de longues secondes. Je la regarde, fasciné par le spectacle de sa jouissance.
Quand l’onde de choc passe, ses jambes se dérobent, seule ma saisie au niveau de ses poignets et de son entrejambe la ...