Hélène (28)
Datte: 09/05/2020,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: rouge22, Source: Xstory
... opulente. Elle monte l’escalier, son cul à hauteur de mes yeux. A chaque marche, une fesse monte, accompagnée d’une légère houle des hanches. Le jeu vertical de ses miches laisse entrevoir le bijou bleu inséré dans son anus.
Je ne peux pas résister, je tends la main et je pose ma main sur cette chair si tentante. Elle se retourne et m’envoie un sourire attendrissant.
La chambre de Mél est décorée avec goût, dans les tons pastel, mais je vois tout de suite qu’elle n’est pas partagée avec son mari. Pas de ces petits arrangements qui dénotent une vie de couple, comme deux oreillers de chaque côté du lit, une montre masculine posée sur une table de nuit, pas de dressing partagé. Je peux presque sentir la solitude de cette épouse abandonnée.
Mél.
— Déshabille-moi. M’ordonne-t-elle.
Je me glisse derrière elle, et j’ouvre la fermeture éclair de sa robe. Puis je fais glisser son vêtement, elle est en bas et guêpière. Son cul en liberté s’épanouit devant moi.
Je n’arrive pas à quitter ses fesses des yeux. Elle doit le sentir.
— Il est un peu gros.
— Quoi, Qui ?
— Mon cul, c’est bien ce que tu regardes.
— Oui, mais...
— C’est ma marque qui t’intrigue ?
— Mais cette cicatrice...
— Tu veux toucher ? Doucement, elle date d’avant-hier, elle est encore un peu douloureuse.
J’avance mes doigts, et je caresse du bout des doigts le renflement violacé qui traverse en biais son orgueilleux popotin.
— Allonge-toi, c’est ton tour ! fait-elle en me ...
... poussant sur le lit
Elle se penche sur mon mont-De-Vénus, et dépose un léger baiser. Elle se redresse et me sourit.
Sa menotte ouvre mon coquillage. Je m’écarte, pour lui faciliter l’accès de mon intimité. Elle me fouille, je suis trempée, ma mouille coule sur mon périnée. Un index décalotte mon bourgeon et l‘agace. Je soupire doucement. Un doigt se présente à mon entrée secrète. Je me crispe.
— Pas de ça avec moi. Ouvre-toi. Fait-elle en me fixant dans les yeux.
D’un sourire, j’acquiesce, je glisse mes paumes entre le lit et mes fesses et je dégage le passage. Elle salive sur ses phalanges et les présente au pertuis étroit. Elle s’introduit et entame un mouvement circulaire comme pour m’évaser.
Elle retire sa main et la pose sur mes lèvres.
— Goûte-toi.
J’ai un mouvement de recul.
— Goûte-toi, ou j’arrête.
J’entrouvre ma bouche, ses doigts me forcent.
— Lèche-les, je veux sentir ta langue.
Je les caresse, je les suce comme si c’était le membre de mon mari. J’apprécie cette saveur issue du plus profond de moi-même.
Elle se retire, puis revient à mon œillet. Elle me pistonne avec douceur.
— Tu ne jouiras que par le cul. M’annonce-t-elle autoritaire.
— Oui ma chérie ! Branle-moi.
J’ondule des hanches et du croupion. Elle accélère mon enculage. Ma rosette m’envoie des ondes de plaisir, je me couvre les yeux de mon avant-bras. Je gémis, je suis au bord de l’orgasme Les sensations sont si intenses que j’ai l’impression de n’être plus qu’un ...