La rencontre - Histoires de Sexe

La rencontre

... puisqu’elles sont à l’extérieur des cabines.

Je prends mon courage à deux mains et je file essayer deux ou trois maillots. Je sors avec le premier, j’ai choisi des maillots que je crois suffisamment sexy. Une jeune vendeuse est à côté de moi, elle doit avoir entre 25 et 30 ans. Elle a un sourire magnifique, semble avoir aussi un beau corps qu’elle met en valeur dans un habillement adapté à une boutique de bikini.

Elle me regarde et me fait « non » d’un mouvement de la tête avec un léger sourire. J’en conclus immédiatement que cette fille a du goût et je me fierai à son jugement pour l’achat de mon nouveau vêtement. J’enfile successivement les deux autres bikinis et je cherche son regard approbateur, mais toujours un signe négatif. Elle me dit d’attendre un instant pour qu’elle finisse avec sa cliente, et qu’elle s’occupera de moi par la suite. J’accepte et j’attends quelques minutes.

Elle arrive avec deux bikinis que je n’avais pas vus. Elle me les passe en me disant tout bas que ces modèles ne vont qu’aux femmes avec un corps comme le mien. Je sens une vague de chaleur m’envahir tellement je suis gênée. Pourtant, je ne devrais pas l’être puisque, effectivement, j’ai un beau corps, mais je suis trop pudique pour l’exploiter de façon régulière.

Je sors avec le premier maillot, il me va comme un gant. Je voulais quelque chose de sexy : je suis servie. Le haut est très échancré, ce qui met mes seins en valeur et la culotte laisse apparaître la moitié de mes fesses. ...

... Michel sera dans tous ses états quand il me verra avec ce maillot. Je fais un sourire à ma vendeuse et je lui dis que je prends ce maillot. Elle me regarde avec un sourire et ses yeux noisette et me dit que je ferais tourner bien des têtes avec ce maillot.

Elle s’appelle Stéphanie et me dit que ça lui fera plaisir de me servir à nouveau.

Je quitte la boutique toute heureuse, mais malheur à moi, ma voiture ne démarre pas. C’est pourtant une voiture neuve. Comme j’ai quitté la boutique quelques minutes avant la fermeture, Stéphanie passe devant moi en rentrant chez elle. Voyant dans quel pétrin je suis, elle me suggère de me rendre à son appartement pour appeler la remorqueuse.

Je ne voulais pas la déranger, mais elle insista. Après tout, cette fille me plaisait bien. Elle avait des yeux magnifiques et un sourire radieux. Pas surprenant qu’elle ait eu de la facilité à me trouver un vêtement à ma taille, puisqu’elle semble avoir sensiblement le même physique que moi.

Rendues à son appartement, Stéphanie m’offrit un verre de vin. Pas de bol, la remorqueuse ne pouvait pas venir avant le lendemain, je devrais donc rentrer en métro. Stéphanie ne voulait pas me laisser partir avant d’avoir mangé puisque j’en avais pour un bon « deux heures » de métro et d’autobus avant d’arriver à la maison.

Pendant le repas, nous avons discuté de tout et de rien, nous apprenions à nous connaître et cette fille me plaisait de plus en plus. Nous buvions du vin tout en discutant et nous ...