1. Enfin elle a cédé (5)


    Datte: 09/05/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Eric989, Source: Xstory

    ... que les doigts la fouillent maintenant, car elle pousse de petits cris et soudain se tend, atteinte d’un orgasme autant dû aux caresses qu’aux conditions et à l’homme qui les prodigue.
    
    Elle se détend et, comme si de rien n’ était, mon patron s’éloigne d’elle en nous disant que nous dînerons sur la terrasse vers 21 h.
    
    Nous ne parlons pas de la séance, mais j’insiste pour expliquer à Martine que je pense avoir en rentrant une très grosse promotion, je pense qu’elle comprend le message.
    
    Nous faisons un délicieux dîner à la fraîche, assez arrosé, mon patron se révèle un hôte charmant, discret et ne fait aucune allusion à sa petite séance de tripotage poussée de ma femme.
    
    Il se fait tard et nous nous retirons dans notre chambre, Martine revêt une nuisette très transparente que ses seins tendent et je la trouve très excitante, sa nudité presque dévoilée et ses formes feraient bander un mort.
    
    Je l’attire sur notre grand lit et après de multiples caresses, nous nous retrouvons en position de 69, je la rends folle en lui mordillant la chatte tandis qu’elle me pompe comme elle sait si bien le faire.
    
    Une petite sonnerie, un texto vient d’arriver, bizarre, à cette heure, j’attrape le téléphone posé sur la table de nuit.
    
    Effectivement, il y a un texto baptisé : URGENT : c’est de mon patron :
    
    — Je suis en train de réfléchir à ta promotion, merci de m’envoyer de suite ta femme pour qu’on en parle.
    
    Le message est clair et je le fais lire à Martine, encore très ...
    ... excitée de mes caresses et qui reste sur sa faim.
    
    — Martine, on joue gros, tu vas y aller, ne t’inquiète pas, je ne suis pas loin.
    
    — Tu es sûr, chéri.
    
    Je sens qu’en fait, cette convocation l’excite beaucoup et je la regarde sortir, son cul magnifique à peine voilé par la nuisette arachnéenne.
    
    Je lis un peu et au bout de deux heures, la porte s’ouvre et ma femme entre, elle a l’air épuisée.
    
    — Allez, raconte.
    
    Elle me fait un récit très excitant, elle me révèle que mon patron est très pervers et lui a dit en préambule que c’est elle qui fera ou non ma promotion.
    
    S’ensuit une séance de baise comme elle en a rarement subi, il l’a prise par tous les trous, l’a obligée à se soumettre à tous ses caprices, ça a fini en apothéose, il l’a enculée tout en la fistant après l’avoir bâillonnée (pour ne pas me rendre jaloux, lui a-t-il dit).
    
    Je vois qu’elle est épuisée, mais je la sens fière d’avoir contribué à ma future promotion, conscient de son état, mais aussi très excité, je me contente de me branler sur ses seins qui portent encore des marques de manipulations plutôt appuyées.
    
    Ensuite, elle va se doucher et on s’endort emboîtés l’un dans l’autre.
    
    Je me réveille tôt, le soleil éclaire déjà la chambre et le drap est tombé, ce qui fait que j’ai une vue imprenable sur sa délicieuse croupe, ce qui me fait instantanément bander à fond.
    
    Je ne résiste pas à lui doigter le petit trou qui me semble encore pas entièrement refermé et voyant que ça ne la réveille pas, ...