Bain de minuit. (1)
Datte: 09/05/2020,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Dimitri29, Source: Xstory
... semblait belle, derrière ses grandes lunettes noires et sous la longue robe bleu marine à nénuphars qui volait au vent avec ses cheveux bruns, se dessinaient de généreux seins et un ventre joliment galbé. Elle devait avoir une petite quarantaine d’années et tenait une serviette dans sa main droite.
Elle finit par s’asseoir non loin de mon petit tas d’affaires.
Je fis d’abord semblant de rien, continuant à nager, pensant qu’elle partirait vite. Mais les minutes passaient et elle ne bougeait pas. Elle avait sorti un livre qu’elle semblait lire derrière ses grandes lunettes noires.
Je me sentais profondément inquiet de devoir sortir de l’eau en tenue d’Adam, et mon inquiétude me fit paraître l’instant bien moins agréable, l’eau devenait froide, mes lèvres commençaient à gercer. Je décidai donc de sortir de l’eau.
En sortant de l’eau je mis ma main gauche devant mon intimité de la façon la plus innocente possible, et je me mis à marcher vers mes affaires. Je fis quelques pas hors de l’eau et trouvais tellement ridicule de marcher ainsi, à moitié recroquevillé, inégalement penché, d’autant plus que ma main et mon poignet ne cachaient absolument pas ma pilosité pubienne, et cette femme ne regardant même pas en ma direction, je sentis l’envie de m’exhiber nu m’assaillir. Comme si de rien n’était, j’enlevai ma main exposant ainsi mon sexe de jeune homme au vent, qui pendouillait gentiment à la sortie de mes poils bruns, et me mis à marcher ainsi, dans cette nudité à ...
... laquelle je ne trouvais finalement rien de honteux dans cette situation.
La femme ne bougea pas.
Arrivé à mes affaires je lançai un petit regard vers la femme pour déceler ce qu’elle regardait, mais elle semblait totalement absorbée par son livre, je fis alors volte-face, dos à elle, face à la mer, pris soin de sécher rapidement et efficacement pour ne pas attraper de coup de froid par ce vent généreux. Levant les bras pour y passer ma serviette, j’entendis derrière moi « alors, elle est bonne ? ».
Je me retournai et la vie qui me regardait, attendant ma réponse, que je ne sus sortir.
Je ne pus que balbutier quelques « ben, euh, euh ».
Elle renchérit, « elle n’a pas l’air, vous semblez glacé ». Et se leva pour s’approcher de moi, tenant sa serviette à la main, elle m’enveloppa avec, et se mit à frotter la serviette au contact de ma peau. « Vous allez attraper froid avec ce vent, vous avez déjà la chair de poule ».
Elle se baissa et se mit à frotter ses mains contre la serviette au niveau de mes hanches, mettant ses bras de chaque côté de moi, se baissant quelque peu pour bien faire adhérer la serviette derrière mes cuisses, et me livrant ainsi un aperçu sur la fente au milieu de sa poitrine, et sur le dessus de ses deux seins blancs gonflés. Le contact des mains sur l’arrière de mes cuisses, de cette femme qui m’était inconnue, combiné à sa proximité factuelle avec mon entrejambe, et l’insoutenable excitation de cette faille de tissu qui découvrait l’interstice ...