1. Une Promenade En Forêt 1


    Datte: 09/05/2020, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bycharles314, Source: Literotica

    Il fait un temps divin, plutôt chaud mais pas trop. Une sorte d'été indien qui se prolonge au fil de ces derniers jours de septembre sur la campagne charentaise. Marie-Hélène est ravissante dans sa tenue : petit short très moulant, orange pale avec des motifs floraux, et débardeur parme qui laisse ses bras nus et moule sa grosse poitrine. Avec ses longs cheveux noirs qui pendent librement en cascade sur ses épaules bien charpentées, elle est belle et sexy. Il n'y a aucun doute, ma femme a la trentaine radieuse.
    
    Nous avançons tous deux sur un petit chemin forestier qui part derrière la maisonnette, gîte « deux épis » que nous avons loué pour un week-end amplement mérité. Le déjeuner a été arrosé et la promenade est une bénédiction. A quelques pas devant moi, Marie Hélène ne manque pas de voir que je mate sa démarche chaloupée et m'adresse un sourire un peu coquin. J'avance ma main vers sa croupe mais elle s'échappe en riant et nous parvenons à l'orée du bois.
    
    - Tu crois qu'on peut se balader par là? demande-t-elle en faisant exprès de tendre encore plus son débardeur.
    
    - Oui, je crois même que tu vas rencontrer un grand méchant loup en tous cas tu en verras la queue.
    
    - Cochon, tu ne penses qu'à ça. Mais je voulais dire, tu ne crois pas qu'avec l'ouverture de la chasse on risque de se prendre du plomb dans les fesses?
    
    - Ne t'inquiète pas, on est sur un chemin et il n'y a pas de problème.
    
    Tandis que nous avançons, nous apercevons au bout du sentier un groupe ...
    ... d'hommes avec un chien. Assis sur un tronc d'arbre, ils mangent un casse croûte. En nous approchant, je constate qu'ils regardent Marie Hélène avec des yeux exorbités. Il y a là trois hommes entre 50 et 60 ans, assez gras, habillés en tenues vaguement paramilitaires, fusils en bandoulière et un jeune homme qui a l'air un peu demeuré en salopette bleue. Leur basset artésien vient me flairer les mollets amicalement.
    
    - Messieurs, bonjour dis-je jovialement et un peu fort pour les inciter à me regarder moi.
    
    Mais ils n'ont cure de mes salutations et dévorent Marie Hélène du regard sans aucune vergogne
    
    - Bon appétit dit Marie Hélène qui met un point d'honneur à les ignorer superbement.
    
    - Bon appétit! je répète à mon tour, mais ils s'en foutent et on dirait presque qu'ils vont se mettre à baver en regardant le cul de ma femme serré dans son petit short tandis qu'elle s'éloigne sur le chemin.
    
    - Attention à ce qu'on vous prenne pas pour une biche! lance en ricanant le plus gros des trois, un homme chauve au visage rougeaud et aux petits yeux de verrat.
    
    Connard, je susurre entre mes dents, mais je presse un peu le pas et nous avançons en silence pendant une centaine de mètres jusqu'à ce qu'un coude du chemin nous masque à leurs yeux.
    
    - Quels porcs, dit Marie Hélène en rigolant. T'as vu comment ils me regardaient? J'ai cru qu'ils allaient me sauter dessus et me violer sur place!
    
    - Oui, j'ai vu, c'est des gros beaufs. Je regarde ma femme que l'aventure semble avoir ...
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