1. Businesswoman ou prostituee


    Datte: 05/04/2018, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster

    ... nous parut sérieux. Mon patron renaissait.
    
    Cet imbécile eût du s'apercevoir que le cher émir ne lorgnait pas sur la mignonne secrétaire quoique j'en eus dis. Je fis en sorte que mon patron ne perçut rien du jeu entre l'arabe et moi. Au contraire le laissais-je pérorer et se pavaner. Il me dit content : « On dirait que ce con voudrait faire affaire avec moi. C'est inespéré.» J'avais mon plan en attendant. Je savais que le dernier jour il y aurait relâche l'après-midi. Nous ne prendrions l'avion que fort tard le soir. Dans un mail j’expliquais audit émir qu'il devait inviter à déjeuner la jolie secrétaire et s'afficher avec elle. Nous nous verrions peu après.
    
    Mon patron ne put que constater que mon pronostic était vrai. L'émir en pinçait pour notre gouine. Pourvu que cette mijaurée ne gâchât rien et ne le déçut pas. Il crut devoir souffler à celle-ci, une forte consigne : « Ne mécontentez pas ce monsieur. Il vous en coûterait. » Je dus courir au secours du désarroi de la petite. Je l'assurais qu’elle se devrait contenter de déjeuner et pas davantage. Tout se passât bien à cet égard. Elle obtint même de son hôte quelques parfums et bijoux. Ce jour-là- j'observais de loin le théâtre des opérations. Je pus rejoindre rassurée une certaine chambre d'hôtel.
    
    J'adore me grimer, me saper, m'attifer en pute. J'en deviens quasi méconnaissable. Un monstre d'impudicité et de putasserie je deviens. Je voulais épater voire jusqu'à choquer mon petit gros arabe. Cet idiot devait ...
    ... être par trop familier de ces femmes de mauvaise vie même si celles-ci se qualifiaient légitimement de luxe. Je ne prétendais pas à leur beauté ni à leur sophistication. La vraie prostitution requiert d'autres qualités et talents. On appelle cela l'art du lit. A mon avis l'amant ou le client doivent avoir envie d'y revenir. Aussi escomptais-je bien subjuguer mon nouveau venu.
    
    Il fut convenu d'un rendez-vous pour 14H30. Samir _ c'était son prénom _ fut ponctuel. Un bon point pour lui. Il se comportait en parfait gentleman. Il n'avait pas mégoté sur la qualité de la chambre. Une surface remarquable emplie de stuc, de marbres et de miroirs et un lit qu'on eût crut grand comme un terrain de tennis. On avait envie de s'y rouler et d'y passer le restant de ses jours. Nu mon émir était encore plus pitoyable qu'au moral. Il n'avait pas une queue démesurée. J'en aurais presque regretté celle du patron mais une prostituée fait fi de tels détails chez le client ou autre.
    
    Quand il s'introduisit dans la chambre dont il avait une clef j’étais mi-nue allongée sur le lit à lire un magazine. Il ne put réprimer son étonnement. Je devais être fort maquillée car il marqua un temps d'arrêt comme s'il ne fut sure que j'étais la bonne personne. Cela m’arrachât un sourire au prix duquel il dut me reconnaître. D'un pan du mur munie d'une commande électrique il fit émerger un mini-bar. En un éclair j'eus une coupe remplie d'un bon champagne. Nous trinquâmes. Il m'avoua qu'autant que moi il était ...