1. La poupée folklorique


    Datte: 05/04/2018, Catégories: jeunes, alliance, nympho, grosseins, fépilée, amour, Oral exercice, fantastiqu, initiatiq, extraconj, Auteur: Patrick de Toscane, Source: Revebebe

    ... sa nuit.
    
    6 heures : Sébastien se leva l’esprit neuf. Il avait oublié la folle journée de la veille et les souvenirs de cette nuit interrompue. Dans la cuisine, il petit-déjeuna sereinement avant de ranger le salon. Après avoir ouvert les volets, il détailla les lieux pour vérifier que rien n’encombrait le salon. Que le plaid était plié, le tout soigneusement rangé pour être le mari modèle aux yeux de Marie-Agnès.
    
    Sébastien sortit du bureau vers 17 heures. La journée aux heures supplémentaires l’avait dissuadé de faire une virée au centre commercial et c’est en fin d’après-midi qu’il gara sa voiture dans l’allée. Il déverrouilla la porte de la maison et entendit la télévision. Surpris, il s’immobilisa.
    
    — Bébé ? C’est toi ?
    
    Il referma la porte et entra dans le salon. Il s’immobilisa à nouveau en découvrant la poupée folklorique placée sur le canapé. Elle semblait captivée par la télévision. Sans réfléchir, il l’interrogea.
    
    — Qui êtes-vous ?
    
    Sébastien soupira… Il remarqua la télécommande à portée de sa petite main.
    
    — Voilà que je parle à une poupée ! Le Martini devait être frelaté !
    
    Sébastien ne bougea pas. Il se rappelait bien que, ce matin, il n’avait pas laissé la télévision allumée. Il détailla la poupée totalement inoffensive, mais il ne pouvait s’autoriser à accepter cette situation irréaliste.
    
    — Écoutez-moi, je ne sais pas ce que vous êtes, mais vous ne me faites pas peur. J’ai déjà vu Chucky, la poupée de sang !
    
    Sébastien vérifia que ...
    ... personne ne le regardait et surtout pas un infirmier de l’hôpital psychiatrique.
    
    — Vous faites cinquante centimètres et je pourrais vous briser en deux…
    
    Soudainement, la poupée tomba lourdement sur son côté gauche, avant de toucher le sol. Perturbé, Sébastien détourna les yeux et attendit de se réveiller, mais en vain… À nouveau, il posa son regard sur la poupée qui finissait de se cacher derrière le canapé.
    
    — Non ! Je ne voulais pas dire cela.
    
    Il avança jusque vers la « cachette » entre le mur et la banquette. Bien qu’il n’ait pas peur, le cœur de Sébastien cognait fort. Elle était là ! Inoffensive. Il la prit par la taille et fut étonné par son poids supérieur à celui de la veille : il sentit des fourmillements dans ses doigts, une relative chaleur, avant de l’asseoir délicatement sur la banquette.
    
    — Je ne veux pas vous casser. Je vous ai sauvé d’un tour à la poubelle municipale.
    
    Cette situation devenait de plus en plus ubuesque. Sébastien vint s’asseoir à côté d’elle. Il la regarda, fronça les sourcils et sembla incommodé.
    
    — Si vous restez, il faudra songer à changer de vêtements et à prendre une douche, ma belle.
    
    Sébastien poussa un soupir. Il prit la télécommande et éteignit la télévision. Indifférent, il monta à l’étage pour prendre une douche. Quand il redescendit, il était 20 h 30. Sébastien passa par la cuisine et prit une pomme qu’il commença à dévorer. Il réalisa que la télévision était à nouveau allumée. Entre deux bouchées, il se souvint de son ...
«12...456...11»