Nathalie, soirée et nuit pipe (1) - Histoires de Sexe

Nathalie, soirée et nuit pipe (1)

... se trouvent plusieurs bouteilles, il se sert un verre et moi aussi.

Je remets ça sur le tapis.

— Alors tu ne veux pas te refaire sucer par une jeune ? Je suis prête, il suffit d’y aller.

Il me répond qu’il n’y a presque plus personne et qu’on prend beaucoup trop de risques à cette heure-ci. Au fond de moi, je sais qu’il a raison, mais je ne sais pour quelle raison, j’ai envie de recommencer avec lui.

Je finis mon verre, le fixe dans les yeux.

— Bon, écoute, je vais dehors, je fume une cigarette, si tu n’es pas là avant que j’aie fini de fumer, je comprends que tu te dégonfles, et je reviens à l’intérieur et te laisse tranquille. De toute façon, on ne va pas tarder à partir nous aussi.

— Va prendre l’air, tu as raison. Ça va te faire du bien.

Déçue qu’il ne me suive pas, je vais quand même dehors. Personne dehors ! Je suis seule. Je prends une Marlboro que je porte à mes lèvres, prends le briquet, et allume ma cigarette ? A plusieurs reprises je place ma cigarette au milieu de mes lèvres, aspire lentement, prends le temps, mais il ne vient pas.

Puis je le vois arriver vers moi. Je me dis que c’est bon, il a réfléchi, et qu’il a envie que je m’occupe de lui. Mais non, ce n’est pas pour cette raison qu’il vient vers moi.

— Je suis venu te dire au revoir, il est tard, je vais rentrer chez moi.

— Je vois, d’accord, eh bien je t’accompagne à ta voiture si tu le veux bien.

— Oui, je le veux bien.

Sa voiture est à une trentaine de mètres. Pour ...

... vous dire que le chemin est court ! En lui faisant la bise, je pose ma main droite entre ses cuisses et le caresse ainsi. Il ne se recule pas.

— Tu sais, je suis fatigué, puis j’ai un peu bu. Je ne pense pas que je puisse jouir à cause de ça.

— Laisse-moi essayer, tu vas voir que la petite jeune de 28 ans est une bonne suceuse, et le pire, c’est qu’elle aime ça !

Je continue à le caresser entre les cuisses, et je sens que sous le pantalon, ça se durcit légèrement.

— Je vois que je ne te laisse pas indifférente quand même. C’est que monsieur commencerait à bander. Tu aimes sentir ma main te caresser ?

— Oui, bien sûr que j’aime et que tu commences à me faire de l’effet. Mais je ne sais pas si j’ai assez la forme pour avoir une deuxième éjaculation, même si la précédente date d’un peu plus de deux heures.

En continuant à le caresser, et donc à le faire durcir, je lui réponds qu’il suffit d’essayer.

— Assis toi, laisse la portière de ta voiture ouverte, je me baisse et tu te laisses faire. Tu veux ?

— Non, pas ici. C’est trop dangereux ! La porte de la maison est pratiquement en face.

— Alors on retourne à l’endroit de tout à l’heure.

Par ma plus grande surprise, je le vois refermer la portière de sa voiture, mettre la clé dans sa poche, et me dire « Je vais bander mais je ne vais pas éjaculer, tu vas être déçue après.

Nous retournons à cet endroit, il se recule un peu pour ne pas être dans la lumière. Je lui demande de déboutonner sa braguette et ...