1. Mon fils, cet étalon. (15)


    Datte: 08/05/2020, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: tomy83, Source: Xstory

    ... Comment elle sait, alors...
    
    — Intuition maternelle, et vu comment tu l’as mangée des yeux...
    
    Évidemment, Coralie m’obsède, m’envoûte. Je laisse repartir Jérôme et ma mère me rejoint. Elle me regarde en train de pleurer.
    
    — Es-tu heureuse ?
    
    — Oui, maman...
    
    Elle me prend dans ses bras et me dit :
    
    — J’en suis heureuse. Vis ta vie et ne regrette rien. Pour ton fils, excuse-le. Je lui ai demandé si tu avais quelqu’un. Il m’a répondu...
    
    — Je sais, maman, je sais.
    
    Mon papa arrive et nous embrasse toutes les deux.
    
    — J’ai faim, si on allait au resto pour ce soir. Tu peux inviter ton amie... Tu as bon goût, elle est charmante, dit-il avant de tourner les talons.
    
    — Tu lui as dit ?
    
    — Non, mais il te connaît mieux que moi.
    
    — Oh, maman, comme j’ai honte...
    
    Mon père a entendu et revient vers nous.
    
    — Honte de quoi, de qui ? Si tu as honte d’elle, dis-le-lui. Hors de question que tu bousilles ta vie avec un connard comme l’autre con. Me suis-je bien fait comprendre ? Me dit-il sur un ton autoritaire. Et si tu es tombée amoureuse de Coralie, grand mal t’en fait.
    
    Puis sa voix devient tendre et il poursuit.
    
    — On n’a pas à te juger, ma chérie. Tu es le bien le plus précieux que l’on n’ait.
    
    Je fonds en larmes et prends mon papounet dans mes bras. Je chiale comme une madeleine. Il nous dit qu’il a faim et repart dans le salon où nous attend la petite troupe. Je passe à la salle de bain me refaire une beauté et ce n’est pas ...
    ... du luxe. Coralie arrive derrière moi et m’embrasse dans le cou. J’en frissonne.
    
    — Je t’aime Christine. Personne, je dis bien personne ne nous séparera.
    
    — Et ton mec.
    
    — Il faudra qu’il fasse avec. Je l’appellerai demain.
    
    — Non, on l’appellera.
    
    On rejoint mes parents, Eva et mon Jéjé. Il veut s’excuser, je lui barre la bouche de mon doigt. Coralie nous invite dans un resto-grill. C’est dans une ambiance pesante que commence notre trajet. Mon père détend l’ambiance :
    
    — Et moi qui comptais passer une retraite paisible. Ratée...
    
    On éclate tous de rire, le repas s’annonce sous de bons auspices. En marchant vers le restaurant, Coralie me donne la main et entrecroise ses doigts aux miens. Je la tire contre moi.
    
    — Je t’aime Coralie.
    
    — Je t’aime ma Christine.
    
    Ma mère qui marche à nos côtés nous regarde affectueusement. Elle a entendu et elle me sourit. Que je suis bien, légère, libérée de mon fardeau !
    
    Le repas se déroule dans la bonne humeur. Mon père qui n’a pas perdu l’appétit dévore sa côte de bœuf, finit celle de Coco et de ma mère. Il se tape sur la panse et se lève pour aller se refaire une beauté, nous dit-il.
    
    On attend que le serveur nous apporte l’addition. Mon père, comme à son habitude, a réglé. Coralie veut payer sa part.
    
    — Tutututut... Je ne vais pas me laisser entretenir par une femme, tout aussi charmante soit-elle.
    
    Il se dirige vers la sortie en sifflotant. Coralie me regarde honteuse, je lève les yeux. 
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