1. Le chien


    Datte: 06/05/2020, Catégories: fh, hsoumis, fdomine, humilié(e), pied, intermast, Oral hgode, sm, attache, baillon, yeuxbandés, bougie, fouetfesse, piquepince, hsoumisaf, Auteur: Aurel59, Source: Revebebe

    Ma maîtresse me demande et j’obéis.
    
    Ma maîtresse ordonne et j’exécute.
    
    Je ne rechigne pas, je ne pense pas, j’ai laissé entre ses mains mon corps et mon plaisir.
    
    Nos jeux ont commencé depuis plusieurs semaines. D’abord au travers de discussions puis assez vite avec cette envie de les vivre pour de vrai. Je ne m’en pensais pas capable, elle m’a dit qu’elle me trouvait faible, elle m’a piqué au vif, j’ai cédé…
    
    Malheureusement pour moi, aujourd’hui je suis puni. J’ai désobéi à un ordre. Peu importe lequel, le résultat est là. Elle veut me voir, et je suis là.
    
    Nous nous sommes donnés rendez-vous chez elle, comme d’habitude. Je suis arrivé à l’heure. Je porte ce qu’elle m’a demandé de mettre sous mes vêtements, un string noir en simili cuir qui me rentre dans les fesses, sur le torse deux pinces reliées par une chaînette sont pendus à mes tétons.
    
    Depuis ce matin je souffre délicieusement dès que je bouge, et je sais pourtant que le véritable plaisir n’a même pas commencé.
    
    Elle arrive, magnifique, avec ses lèvres minces, ses yeux gris et ses cheveux courts, son visage strict et sévère avec cette pointe de maquillage qui fait sa féminité, un bustier noir qui moule ses formes. Son petit short en cuir fait ressortir la blancheur de ses cuisses qui disparaissent dans des bottes que je connais déjà si bien.
    
    À peine est-elle entrée dans la pièce que déjà je suis au garde-à-vous. Posté tel un jeune chiot, me voilà à genoux, les mains sur le sol, la tête baissée ...
    ... pendant qu’elle s’approche de moi, son jouet fétiche à la main.
    
    Alors qu’elle me contourne, je sens le cuir qui glisse sur mon dos, mes épaules. L’objet passe sur ma tête, je baisse les yeux un peu plus…
    
    Elle revient devant moi et glisse son stick sous mon menton m’intimant l’ordre de lever les yeux vers elle.
    
    — Alors on ne veut plus obéir… Tu sais que je ne supporte pas ça… Tu sais que je vais devoir te punir… J’ai prévu quelque chose qui te fera réfléchir avant de recommencer.
    
    Elle me jette un foulard à la figure, et me dit :
    
    — Suis-moi.
    
    Alors à quatre pattes, je marche derrière elle, pendant qu’elle se rend vers les marches de l’escalier qui mène à l’étage. Elle s’arrête et m’invite à monter.
    
    Première marche… et premier coup de cravache. Inattendu, sourd, sec. Jouissif. Aussitôt les larmes me montent aux yeux. L’ascension va être douloureuse, délicieuse.
    
    À chaque marche, un nouveau mouvement de son poignet qui fait claquer sa cravache sur mes fesses. Mes dents se referment sur le bout de tissu que j’ai mis dans ma bouche.
    
    Nous voilà à l’étage, mes fesses piquent et brûlent. Je baisse toujours la tête en attendant qu’elle me dise où aller. Je vois ses talons passer près de moi. Elle avance vers la chambre, je suis derrière elle. Elle ouvre la porte. J’entre.
    
    La pièce est sombre, juste éclairée par quelques bougies. Les rideaux sont fermés, le lit est fait, l’ambiance est lourde presque solennelle comme celle d’un tribunal secret, idéal pour un ...
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