La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°957)
Datte: 06/05/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... plaisirs à ce qu’Il lui faisait subir. Mu par une intuition, Il fit tomber délicatement une goutte de cire sur son clitoris palpitant. Elle hurla son plaisir malgré son bâillon, aussi de douleurs certainement un peu, mais surtout de jouissance. Il profita de cet état second pour laisser tomber de la cire sur ses lèvres, comme s’Il les scellait. Le résultat ne se fit attendre, la soumise, prise de sublimes spasmes ressentis comme des décharges électriques jouissives, laissa éclater un orgasme puissant sans discontinuer, et même plusieurs minutes après qu’Il ait reposé la bougie, elle continuait à se tortiller de plaisirs. Il la laissa récupérer tranquillement. Puis Il la détacha et lui ôta le bandeau des yeux. Mais Sangmo était tellement partie loin, qu’elle les garda fermés pendant un moment, le corps tremblant, des larmes s’échappant de ses paupières closes. Monsieur le Marquis l’aida à s’asseoir sur la table et prit place à côté d’elle.
- Pourquoi pleures-tu ? T’ai-je fait mal ? (Il connaissait la réponse, mais Il voulait entendre cette réponse de sa bouche.)
- Je suis désolée, Monsieur le Marquis, de m’être ainsi laissée aller. Non, Vous ne m’avez pas fait mal. Mais je n’avais jamais ressenti ces émotions dues à l’excitation ...
... mélangée à la légère douleur, tant que Vous restiez sur les zones que Vous aviez définies. Mais quand Vous avez fait tomber la cire directement sur mon sexe, la douleur a été plus intense, mais surtout intensément plus jouissive également, je suis obligée de le reconnaître. Je n’avais jamais joui sous ce genre de douleur, étant plus habituée à jouir, quand j’y suis autorisée, sous la douleur du fouet et je trouve cela assez perturbant, c’est une douleur totalement différente et nouvelle pour moi, une savoureuse douleur si excitante, Monsieur le Marquis …
Elle avait parlé d’une traite, presque sans reprendre son souffle, et les quelques larmes qui avaient coulé jusque-là se transformèrent en déluge ! Monsieur Le Marquis la prit dans Ses bras pour la laisser se soulager. Quand elle se fut calmée, Il prit une roulette à dents et lui enleva ses gangues de cire.
- Cet instrument peut aussi être très jouissif, mais je pense que tu as eu assez d’émotions pour aujourd’hui. Je te laisse regagner ta niche, repose-toi au moins une heure, je me charge de prévenir Wangdak.
Ce qui était sûr, c’est que cet échange de soumises, pendant ces presque vingt-quatre heures, avait été riche en émotions pour les deux femelles !...
(A suivre...)