1. Lendemain de fête


    Datte: 06/05/2020, Catégories: fh, fplusag, extracon, alliance, grossexe, campagne, anniversai, hdomine, contrainte, Oral confession, Auteur: Kokinette, Source: Revebebe

    ... d’un côté de son corps, la seconde de l’autre côté, dans le vide…
    
    Puis c’est la catastrophe : je sens une main se poser derrière mon genou et remonter le long de ma cuisse, et sa main est à peine sur ma cuisse que je sens l’autre se positionner sur mon sein gauche dont l’accès est facilité par le large entrebâillement de mon peignoir. J’essaie aussitôt de me relever discrètement pour filer à l’anglaise mais je perds l’équilibre et ma poitrine tombe sur son visage. Je me relève alors rapidement, mais trop tard : il se réveille !
    
    Je me rajuste rapidement et me justifie en lui disant que j’étais simplement passée pour voir si tout allait bien et pour fermer la fenêtre. Son charabia me fait immédiatement comprendre qu’il est encore bien bourré ; il me dit que je ne peux pas le laisser comme ça en enlevant carrément le drap…
    
    Il me présente alors son sexe, tendu à l’extrême. Je reste sans mot tellement je suis surprise. Je tourne alors les talons en lui répondant :
    
    — Non mais, ça ne va pas la tête, Bertrand, tu n’y penses pas ! Et que dirait Estelle ?
    — Allez, vous n’êtes vraiment pas sympa, quoi. Juste une petite branlette alors, histoire de me soulager… me dit-il en se levant difficilement et en s’approchant de moi tant bien que mal.
    
    Puis il me balbutie :
    
    — Elle n’en saura rien ! Regardez l’état dans lequel vous me mettez… en faisant une tête de misérable…
    
    Il est à présent à côté de moi, titubant. Son sexe semble vraiment très dur ; il monte jusqu’au ...
    ... nombril, bien raide. Il faut avouer que je n’ai pas vu beaucoup de sexes d’hommes dans ma vie, mais sa queue est vraiment très belle, bien droite, avec quelques veines et d’un calibre bien au-dessus de la moyenne, à mon avis…
    
    Je réfléchis quelques secondes puis je lui réponds :
    
    — Non mais, tu es fou… Qu’est-ce que tu ne me ferais pas faire, toi alors !
    
    Un large sourire apparaît sur son visage ; il me prend la main pour m’emmener vers le lit, s’allonge, me fait asseoir à ses côtés puis me pose directement la main sur son sexe. Ce n’était pas qu’une impression : celui-ci est vraiment tendu à l’extrême. Je ne sais pas pourquoi je le fais, mais je m’exécute finalement : je prends fermement son sexe, ma main commence à monter et descendre sur sa verge, je le masturbe et prenant conscience de ce que je suis en train de faire, j’accélère rapidement la cadence pour en finir au plus vite. Seulement… plus je le branle, plus il ferme les yeux en grommelant de plaisir. Après cinq bonnes minutes, je commence à avoir mal au bras donc je change de main. J’accélère encore le rythme, mais c’est qu’il semble très endurant, et il m’avoue qu’il l’est davantage les lendemains de cuite…
    
    — Dépêche-toi, je commence à fatiguer ? moi ! lui dis-je.
    
    Je ne m’attendais sûrement pas à la réflexion qui allait suivre…
    
    — Vous n’avez qu’à lui faire un petit bisou… me dit-il le plus naturellement du monde !
    
    À nouveau choquée, je lui réponds :
    
    — Non mais, ça ne va pas la tête !
    
    Il se lève ...