1. Famille Vendue


    Datte: 05/04/2018, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bychabachaba, Source: Literotica

    ... plus complète satisfaction...
    
    Pendant ce temps, le supplice de la mère se terminait. Le male en rut avait entamé une sorte de galop final, martelant littéralement le somptueux corps offert. Elle faisait face du mieux qu'elle pouvait en attendant impatiemment qu'il éjacule enfin au plus profond d'elle-même. La décharge libératrice finit par venir, copieuse et grasse. Elle laissa l'homme s'apaiser, toujours planté en elle, avant qu'il ne se retire avec un «Ssouppss » sonore quand sa queue se libera. Un trop-plein de sperme commença à sourdre doucement hors du vagin rose encore ouvert à la vue de tous.
    
    « C'est bien! » Lui dit Fatou. « C'est comme si tu connaissais déjà tout du métier! »
    
    Le lendemain matin Fatou accompagnée d'un garde vint extraire Evelyne seulement de la cellule. Elle fut poussée dans une chambre où pas moins de cinq autres gardes les attendaient. Ils la firent s'allonger sur un lit et les hommes lui saisirent bras et jambes, les écartèrent largement et l'immobilisèrent ainsi fermement sur le lit de toutes leurs forces conjuguées. La malheureuse s'attendait à subir un viol multiple quand une vieille femme asiatique, habillée avec soin et au maquillage raffiné fut introduite dans la pièce par Fatou. Elle posa un vanity-case au pied du lit, en sortit délicatement une fine seringue couronnée d'une aiguille et elle vint se poster entre les cuisses ouvertes d'Evelyne.
    
    « Ne bouge pas! Ce n'est que du silicone injectable : On va t'améliorer un peu pour ...
    ... te mettre plus au goût des clients. Madame Li n'a pas son pareil pour mettre en valeur nos marchandises... »
    
    Evelyne, terrorisée, entreprit au contraire de tenter de se libérer de l'emprise de ses ravisseurs. Fatou démasqua alors une main prolongée d'une sorte de longue télécommande noire et Evelyne fut instantanément foudroyée par une terrible décharge électrique.
    
    « Un petit coup de jus, juste pour t'avertir. Je recommence en doublant la dose au moindre nouveau mouvement de ta part. C'est mon dernier avertissement : Tiens toi tranquille! »
    
    Evelyne, le souffle coupé, se tint désormais parfaitement immobile, le regard fixé vers le plafond, la brûlure à son coté encore cuisamment sensible. Madame Li, concentrée, commença son patient travail. Evelyne sentait parfaitement les doigts précis qui, en bas, écartaient ses lèvres intimes et les morsures régulières de l'aiguille en de multiples endroits successifs.
    
    Tout l'entrejambe d'Evelyne lui fit l'impression de s'échauffer au fur et à mesure que le corps étranger était introduit dans ses chairs, les distendait, les remodelait. Madame Li s'interrompit plusieurs fois pour recharger sa seringue au grand désespoir de sa victime épouvantée par les conséquences à long terme de cette irréversible chirurgie. Soudain l'aiguille pénétra le clitoris lui-même, le si sensible bouton d'amour. Evelyne trembla de tout son corps à la fois de douleur et de révulsion, mais parvint à rester immobile. Là encore, la matière étrangère fut ...
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