1. Famille Vendue


    Datte: 05/04/2018, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bychabachaba, Source: Literotica

    ... dont le regard perçant glaça le sang d'Evelyne. Une lesbienne, elle en était certaine à 100%. Et une lesbienne vicieuse...
    
    La conversation était en mandarin, mais il n'était pas difficile pour les deux esclaves de comprendre que le maître ne proposait rien de moins à ses deux invités que de se choisir un jouet sexuel pour la nuit! Evelyne pria alors Dieu (s'il y en avait un pour elles...) que l'homme choisisse sa fille et qu'il épargne ainsi à son enfant l'horreur d'une nuit dans le lit d'une telle femme. Mère et fille durent s'exhiber, jambes écartées, mains sur la tête en ondulant du basin. Et le Ciel exhaussa ses vœux : c'est d'elle, Evelyne, dont la vieille chinoise avait envie ce soir.
    
    Charlene partit ainsi vers une probable longue, mais sinon par ailleurs « classique », séance de fellation/pénétration/sodomie aux mains de cet homme non choisi certes, mais finalement assez physiquement acceptable. La mère savait sa fille désormais suffisamment endurcie en ces matières pour que ceci puisse être envisagé comme un moindre mal.
    
    Pour elle, la nuit serait longue. Elle n'avait aucune illusion à ce sujet et c'est le cœur très lourd qu'elle suivit comme un animal docile la vieille femme lorsque celle-ci choisit de se retirer dans la luxueuse chambre qui avait été mise à sa disposition pour la nuit. Le maître avait cru bon de lui faire savoir au moment ou elle quittait la pièce :
    
    « Good night! And you, whore, make her happy or else your son... »
    
    [Bonne nuit! Et ...
    ... toi, putain, rends la heureuse sinon...]
    
    La première menace jamais entendue dans sa bouche depuis son arrivée sur le domaine. Evelyne se le tint pour dit...
    
    La chinoise se déshabilla, révélant un corps âgé, ridé, au ventre rond et aux seins tombant avec des bouts larges et extrêmement sombres. Elle tenait sa toison pubienne soigneusement rasée, comme celle d'une petite fille, mais avec des lèvres intimes larges et un peu distendues. Elle posa enfin sur la coiffeuse sa perruque laissant voir un crâne presque dégarni couvert seulement de quelques mèches blanchâtres.
    
    Elle revint sur ses pas et, se collant contre Evelyne, entreprit le viol méthodique du corps sain et sublime qui était sa proie pour la nuit. La vieille savait tout, c'est-à-dire bien plus qu'Evelyne, sur le sexe entre femmes, et elle ne lui épargna rien ni aucune caresse ni aucun attouchement. Evelyne dut embrasser, lécher et caresser l'entièreté de ce corps usé, aucune répulsion, aucune pudeur ne comptant plus. La chinoise s'échauffait à mesure que duraient ces jeux saphiques et maintenant elle fouillait littéralement le corps soumis de la française.
    
    Evelyne dut consentir à tout, absolument à tout. C'était un viol total, qui allait infiniment plus loin dans l'intime que tout ce que les hommes dans leur furie sadique lui avaient fait subir jusque là : à la vieille, femme comme elle, elle ne pouvait rien dissimuler, rien cacher...
    
    Puis l'ancêtre se leva et alla sortir d'une de ses valises un god double ...
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