1. Famille Vendue


    Datte: 05/04/2018, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bychabachaba, Source: Literotica

    ... mère. John le fit sans hésitation marquée, montrant sa soumission en sachant maintenir un regard docile vis-à-vis de l'homme qui l'humiliait.
    
    « Let them wank a little to see how hot they are...» Demanda l'homme.
    
    [Faites les se branler un peu pour voir si ils sont bien « chauds »...]
    
    Fatou, après traduction, s'avança et leur ordonna : « Masturbez-vous! Allez, branlez vous! Montrez que vous en voulez! »
    
    Ils obéirent tous les trois, enlevant les mains de sur leurs têtes pour les porter vers leurs entrejambes. Evelyne, au coeur de la honte, mais résolue à tout pour emporter le choix de l'acheteur, prit même sur elle de commencer à onduler lascivement du bassin. Libères de leur propre culpabilité par l'exemple venu de leur mère, ses deux enfants firent bientôt de même. Quel show! Trois corps magnifiques en pleine lumière, leurs longues jambes musclées montées sur talons aiguilles, largement écartées et ondulant au gré de l'exhibition obscène des organes sexuels que les trois malheureux stimulaient avec une énergie si désespérée qu'on aurait pu finir par la trouver touchante...
    
    Part 5 -- Dans le lit du maître.
    
    Cela avait marché : le lendemain Fatou était venue les informer que l'acheteur de la veille avait accepté de les prendre comme un lot. Ils allaient rester ensemble. Soulagement.
    
    Du long voyage qui suivit, Evelyne ne se rappelait presque rien. On leur avait fait boire quelque chose avant de partir et, après, elle avait eu la tête lourde et elle ne ...
    ... faisait plus que s'endormir... Il y a avait eu une voiture, puis elle se rappelait d'un avion, un jet privé luxueux où elle s'était endormie à même le sol, le nez dans la moquette.
    
    Tout les trois s'étaient retrouvés en Asie du Sud, en Indonésie devaient-ils apprendre plus tard de la bouche d'un serviteur qui savait quelques mots d'anglais. Une très vaste maison dans un parc, un ensemble de maisons en fait, gardées par des hommes et des chiens, servies par un personnel à la peau sombre et parlant une langue incompréhensible. Les rares vues possibles sur l'extérieur ne montraient au loin que des montagnes couvertes d'une dense forêt tropicale. Des hélicoptères pouvaient être entendus, allant et venant régulièrement, semblant être le seul moyen de rejoindre le monde extérieur. Aucune clôture visible. Peut-être le parc était-il immense? Ou alors étaient-ils dans une île privée, une de ces milliers d'îles dont est faite l'Indonésie, pays refuge discret des fortunes colossales apportées par la récente et fulgurante ascension économique de l'Asie?
    
    Arrivée là, Evelyne avait pensé à se suicider. Mais, outre qu'elle n'était pas certaine d'en avoir le courage pour elle même, il lui aurait fallu aussi soit tuer ses enfants avec elle (!) soit, pire peut-être, les abandonner seuls au désespoir de leur abject destin. De cette lâcheté là, elle était totalement incapable. Elle vivrait donc, elle se soumettrait à tout pour, tant que cela serait en son pouvoir, les épargner et leur apporter le ...
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